Auparavant, les gens savaient peu, mais comprenaient beaucoup, puis les gens ont commencé à en savoir plus et à comprendre moins, maintenant les gens en savent beaucoup et ne comprennent rien du tout.
— Archimandrite Jean (Krestiankine)
Auparavant, les gens savaient peu, mais comprenaient beaucoup, puis les gens ont commencé à en savoir plus et à comprendre moins, maintenant les gens en savent beaucoup et ne comprennent rien du tout.
— Archimandrite Jean (Krestiankine)
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.
Guerre en Europe: où en sommes-nous? Si l’on écoute le Ministre allemand de la Défense, les Russes devraient attaquer prochainement! Mais que dit une analyse géopolitique et polémologique plus approfondie? On va le voir, celle-ci tend à mettre au jour un autre type de menace. Qu’en est-il?
C’est très loin, la Nouvelle-Calédonie. C’est un territoire colonisé: donc sans rapport avec la situation en métropole. Est-ce bien vrai? La Nouvelle-Calédonie ne nous tend-elle pas plutôt un miroir — ou un pronostic — de notre propre glissement vers la «guerre sauvage»?
Sans s’en apercevoir vraiment, notre société est en train de succomber à la dictature d’une pensée sectaire qui s’est publiquement détournée de la science et de la raison et qui exclut le débat d’idées. Deux professeurs et philosophes éminents de Suisse exhortent la population et ses dirigeants à ouvrir les yeux sur la nature du wokisme.
Dans un monde de robots, la véritable expérience humaine devient une denrée rare. Pour la conférence-dîner du Club de l’Antipresse 2024, nous avons convié deux personnalités peu ordinaires à venir nous parler des défis de la peur et de nos ressources intérieures.
On ne peut plus faire taire aujourd’hui l’adversaire en lui balançant à la figure la Deuxième Guerre mondiale. C’était bien commode pour maintenir un monopole du «narratif», mais cette ère est finie. La désacralisation de ce moment de l’histoire ne va toutefois pas sans conséquences.
Peut-on aujourd’hui «avancer masqué» comme les pâles sujets de l’empire communiste décrits par Czesław Miłosz? Peut-on plier l’échine devant n’importe quelle exigence d’un pouvoir désaxé, appliquer n’importe quelle procédure absurde tout en «n’en pensant pas moins»? Face à ce dilemme, Olivier Battistini défend ardemment la position d’Alexandre Soljénitsyne: le mensonge ne passera pas par moi!
On peut voir dans ces tumultes des événements isolés, locaux, sans cause extérieure. On peut aussi y lire la tentative désespérée d’un empire en perdition de freiner une réorganisation inéluctable du monde par l’aggravation tous azimuts du chaos.
Jusqu’à trois mois de prison et cent mille francs d’amende si vous vous opposez à la «libre» transition sexuelle de votre propre enfant… Cette menace ne sort pas d’une dystopie de science-fiction. Elle fait partie d’un projet de loi examiné dans le canton du Valais, pourtant réputé catholique et conservateur. Que reste-t-il de l’autorité juridiquement garantie des parents sur l’éducation de leur progéniture?
Comment peut-on jouer au souverain quand on a soi-même la laisse autour du cou? C’est tout le dilemme des potentats régnant pour le compte d’autrui, et il ne date pas d’hier. Un concept élaboré au temps de l’Occupation paraît plus actuel que jamais dans l’Europe de 2024.
Tout est la faute de Vladimir Poutine, bien sûr. C’est ce que pensent ses adversaires, et même certains de ses admirateurs. En attendant, comme le chef d’État russe, malgré ses erreurs colossales, est en train de mettre l’Occident en échec, les think tanks de service moulinent en toute hâte un plan B…
Pourquoi le système insiste-t-il tant à nous faire accepter comme nouvelles normes les innovations les plus loufoques? Est-il simplement décadent, désaxé, ou suit-il un «mode d’emploi» du contrôle des masses expérimenté depuis un siècle déjà dans l’utopie marxiste? Le témoignage de Czesław Miłosz nous aide à comprendre ces menaçantes niaiseries.