Pain de méninges

Le pacte diabolique

Les premiers chrétiens savaient très bien également que le monde était régi par des démons et que l’individu qui se compromettait avec la politique, c’est-à-dire avec les moyens de la puissance et de la violence, concluait un pacte avec des puissances diaboliques; il... lire plus

Quand repenserons-nous le monde?

La Révélation nouvelle a beau nous sembler plus que nécessaire, il faut auparavant que le scandale éclate et que nos idées meurtrières épuisent leur démence en exhalant leur malfaisance, nous n’éluderons pas la catastrophe, elle est dans l’ordre et nous en sommes les... lire plus

Une sorte d’interdiction de penser

Il ne faudra pas attendre longtemps après l’an 2000 pour que le monde ait à vivre des choses étranges. La plus grande partie de l’humanité sera sous l’influence de l’Ouest. On verra apparaître, venant d’Amérique, une sorte d’interdiction de penser, non pas directe mais indirecte, une loi qui aura pour but de réprimer toute pensée individuelle. On assistera à une nouvelle forme d’oppression généralisée de la pensée. — Rudolf Steiner, 4 avril 1916.

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Le réel effacé par le numérique

La culture numérique a sa propre métaphysique. Elle vous dit que vous pouvez être n’importe qui et n’importe quoi, que votre volonté est, ou devrait être, dégagée de l’histoire, de la matérialité ou de toute contrainte non choisie. En ce sens, il s’agit de... lire plus

La multiplicité de nos vies

De même que les rêves de notre vie terrestre constituent un état pendant lequel nous vivons d’impressions, de sentiments, de pensées appartenant à notre vie antérieure et faisons provision de forces pour le réveil, pour les jours à venir, toute notre vie... lire plus

La connaissance est un chagrin

Il y a une sorte de tristesse qui vient du fait d’en savoir trop, de voir le monde tel qu’il est vraiment. C’est la tristesse de comprendre que la vie n’est pas une grande aventure, mais une série de petits moments insignifiants, que l’amour n’est pas un conte de fées, mais une émotion fragile et éphémère, que le bonheur n’est pas un état permanent, mais un aperçu rare et fugace de quelque chose que nous ne pourrons jamais capturer. Et dans cette prise de conscience, il y a une profonde solitude, un sentiment d’être coupé du monde, des autres personnes, de soi-même. — Virginia Woolf.

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Regret du passé?

Des imbéciles s’imaginent que je passe mon temps à regretter le passé. Je ne regrette pas le passé, je l’honore, parce que c’est le passé qui nous a faits ce que nous sommes, et que je ne me crois pas capable de renier jamais ceux dont je suis sorti. J’honore le... lire plus

Du temps où l’on voyageait librement

Et de fait, rien ne rend peut-être plus palpable l’énorme régression dans laquelle est entrée l’humanité depuis la Première Guerre mondiale que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et à leurs libertés. Avant 1914, la terre appartenait à tous... lire plus

La décentralisation qui centralise

La France tient magasin de discours militants au choix, mais il y a l’Administration, l’arrière-boutique où s’aménagent les compromis, et ce récent chef-d’œuvre: la centralisation qui décentralise. L’Etat en France n’oublie rien, il thésaurise les expériences, il... lire plus