Christianisme
PÈRE NOËL • Il est mort: démonstration scientifique
Comment un être vivant pourrait-il effectuer 967 visites par seconde?
LISEZ-MOI ÇA! • «Les Fiancés» de Manzoni
…où rien n’est au-dessus de l’honneur et du salut de l’âme.
Aleksandra Pavićević: Prière, ou pourquoi il faut tutoyer Dieu
Aleksandra Pavićević nous propose une suite à sa réflexion sur un monde sans embrassades, assortie d’une franche profession de foi où certains, peut-être, verront un trait de lumière.
LISEZ-MOI ÇA! • «Au bout du monde» de Nicolaï Leskov
Un road trip glaciaire aux confins de l’Extrême-Orient russe
Oui, cher Jean Raspail: quelqu’un se souviendra des hommes!
Jean Raspail m’a donné la confiance d’entrer en littérature et un titre dans le plus beau des royaumes — un royaume de rêve et de geste. Le 17 juin dernier, en l’église Saint-Roch, nous l’avons accompagné pour sa dernière traversée. Ce carnet de bord est mon hommage.
Les invasions barbares comme si vous y étiez
Jamais dans l’histoire les envahisseurs n’ont fait le travail tout seuls. Pour qu’une invasion ait lieu, il faut bien que la population conquise l’ait voulu, ou du moins laissé faire. La fin de l’Empire romain est un bon exemple à méditer.
Aleksandra Pavićević: la réalité de la vie contre la peur de la mort
Au début de la crise pandémique, nous avons reçu cette lettre d’Aleksandra Pavićević, anthropologue et chercheuse. Attelée de longue date à l’étude de la mémoire collective et des rites funéraires, elle a rédigé cette méditation empreinte de foi orthodoxe, mais dont le message universel nous a semblé particulièrement bien venu dans la tempête de peur — et de peur de la peur — que nous traversons.
Saint-Maurice, à l’école des enfants terribles (Aveux publics, 6)
L’individu commence à exister au moment où il dit «non». Un bon système d’éducation est celui qui lui donne la liberté *et les moyens* de dire non, y compris aux idées et aux principes qui l’encadrent. Les cinq années que j’ai passées à Saint-Maurice ont été la période de formation la plus intense de ma vie.
lire plusMarin Mincu: Dracula nous parle
Ce printemps, les éditions Xenia publient un chef-d’œuvre de la littérature roumaine, qui est également une grande méditation historique. Oserait-on réhabiliter la figure de Vlad Tepes, dit *Dracula*? Marin Mincu s’est en tout cas attelé à restituer sa vie intérieure, sa *voix* plutôt, au travers d’un *Journal* de détention poignant et profond, salué en son temps par un Umberto Eco. Ce terrible chef de guerre parlant à la première personne nous restitue toute l’horreur de l’époque où il vécut, mais également la subtilité des divisions qui ont failli faire tomber l’Europe sous la coupe ottomane.