économie
Pourquoi il ne se passe rien (1/2)
Nous nous sentons dépossédés comme citoyens, trompés comme électeurs, exploités comme consommateurs, empoisonnés comme patients. Notre environnement est tissé de faux-semblants. Malgré les catastrophes qui menacent et les révélations fracassantes sur la corruption du système, rien ne change, personne ne bouge. Pourquoi? Sommes-nous tous paranos, ou notre monde se serait-il mis à marcher selon d’autres règles?
lire plusLa danse des éléphants
*The elephant in the room*, l’éléphant au milieu de la pièce: c’est le «petit détail» gros comme une maison, mais qu’on omet de voir et de nommer pour de mystérieuses raisons.
Nestlé-Lidl, les seigneurs du marketing halal
En cédant à l’appel du marketing islamique, les géants de la distribution — Nestlé, Danone, Carrefour, Intermarché, Lidl, Walmart — favorisent concrètement la mise en place d’un «moyen très efficace d’inviter les non-musulmans à se convertir». Et cela ne date pas d’hier!
Astana vista
Pendant que nous nous occupons de vétilles, le Kazakhstan devient peu à peu le centre du (nouveau) monde…
L’OTAN adore les femmes
Qui se souvient encore de cette publicité si politiquement incorrecte d’un grand couturier français des années 1970: «Louis Féraud adore les femmes»? On pourrait presque la transposer à Jens Stoltenberg, le secrétaire général actuel de l’OTAN, lorsqu’on le voit poser avec ses NATO’s girls lors du sommet de Bruxelles de février 2017.
lire plusEmmanuel Macron ou la xyloglossie 2.0
Et si la rhétorique vide du golden boy Macron® était entièrement pompée dans le lexique de la pub bancaire?
Le téléphone fixe, un outil réactionnaire?
Réflexion sur l’escroquerie technologique à partir d’un simple téléphone.
Les fées suisses, ou Alice au Bois dormant
Parmi les étudiants de ma génération, en Suisse, ceux qui s’engageaient dans la filière bancaire devenaient des stars ou des nababs. Il y a de cela un quart de siècle et les temps ont bien changé. La profession de banquier ne fait plus rêver grand monde. Elle pèse plutôt, quelquefois, sur le cœur de ceux qui l’exercent.