France
1789-2020, les leçons concrètes de l’histoire
Sanctification des voyous, déboulonnement des valeurs qui fondent la collectivité, un pouvoir qui appelle «incivilités» des émeutes meurtrières et confesse ne plus vouloir regarder la réalité en face… Cela s’est déjà vu, cela s’appelle révolution. Ou dissolution. Ou les deux.
FRANCE • Les limites de l’enfumage sont atteintes!
Une glissade vers la guerre de tous contre tous?
Oui, cher Jean Raspail: quelqu’un se souviendra des hommes!
Jean Raspail m’a donné la confiance d’entrer en littérature et un titre dans le plus beau des royaumes — un royaume de rêve et de geste. Le 17 juin dernier, en l’église Saint-Roch, nous l’avons accompagné pour sa dernière traversée. Ce carnet de bord est mon hommage.
LISEZ-MOI ÇA! • «Le Paysan parvenu» de Marivaux
On s’installe dans ce récit comme dans une bergère Louis XV
Anne-Sophie Chazaud: le printemps où l’humanité s’est niée elle-même
Jamais encore l’humanité entière n’avait été placée en résidence surveillée. Après le confinement, la stupeur fait place à la réflexion. Nous essayons de «debriefer» cette erreur système avec Anne-Sophie Chazaud, chercheuse en Philosophie au collège doctoral de l’UCLY et chroniqueuse pour de nombreux médias de presse écrite.
Chloroquine, le pharmageddon
Nous vivons un cataclysme nucléaire de l’information médicale. Comme à Tchernobyl en 1986, l’explosion a fait beaucoup de bruit et de fumée, mais les répercussions silencieuses seront bien plus graves.
LISEZ-MOI ÇA! • «Le tour du malheur» de Joseph Kessel
Paru en 1950, mais évoquant les années vingt, «Le tour du malheur» nous fait prendre la mesure du siècle et de l’abîme qui séparent nos jeunes gens de ceux d’alors.
COVID-19 • On aurait mieux fait d’ouvrir les fenêtres…
Où l’on découvre qu’enfermer des populations pour les protéger d’une infection respiratoire n’était peut-être pas la meilleure idée…
lire plusLa légende des affiches ou la Modernité en raccourci
Ce printemps 2020 commence décidément avec du retard, il s’agit donc de le rattraper. En guise d’intermède dans le déchiffrage du désastre, et pour marquer le début du dégel — pardon: du déconfinement —, nous partons visiter ce qui est à mes yeux l’une des plus belles boutiques parisiennes.