manipulation
Surcompensation
D’une manière générale, plus on parle de certaines choses, plus il y a de chances pour qu’elles fassent défaut dans la réalité.
Iran: sanctionnez, sanctionnez! Il en restera toujours quelque chose
Les Européens donnent l’impression de s’agiter pour conserver leurs contrats iraniens, pourtant déjà illégaux en droit américain, depuis le retrait des États-Unis du «Joint Comprehensive Plan of Action». Sont-ils sincères et déterminés? Rien n’est moins sûr.
Wikipedia et les étranges obsessions de Philip Cross
[Craig Murray](https://www.craigmurray.org.uk) est l’une des grandes consciences de ce temps. Cet ex-diplomate et ex-professeur d’université britannique a connu son chemin de Damas lorsqu’il était ambassadeur du Royaume-Uni en Ouzbekistan. Scandalisé par le soutien de l’Occident au dictateur local, Karimov, il est devenu l’un des adversaires les plus résolus du Système qu’il avait lui-même servi. Murray est aujourd’hui un témoin et un activiste de premier plan pour le respect des droits de l’homme.
Déesse de la Miséricorde
La fin du monde n’a pas eu lieu cette semaine. Du moins, pas dans la réalité physique. Dans les univers mentaux, elle ne fait que commencer. Nous la conjurons par un hommage à la Déesse en fer de la Miséricorde, qui n’est pas qu’un grand thé vert.
Ère postsoviétique: la fin du temps de latence
La Russie a annoncé au monde qu’elle disposait d’armes qu’aucune armée du monde ne pouvait contrer. Face à cette information qui signifie un tournant géostratégique considérable, nos responsables politiques et médiatiques se taisent ou se gaussent. Est-ce bien raisonnable?
Qui a inventé la lutte contre les «fake news»?
Comme un seul homme, les dirigeants des pays occidentaux tombent tous à bras raccourcis sur les «fake news». Comment et pourquoi en est-on arrivé à une aussi belle unanimité? Et où se trouve le chef d’orchestre?
Ukraine: des témoignages fracassants… passés sous silence
La «Georgian connexion»: peut-être un sujet de film, mais certainement pas une info.
La mauvaise chute de Tariq al-Capone (2)
Tariq Ramadan est-il «tombé comme Mossoul et Raqqa», dans un combat frontal, ou sommes-nous en train de jubiler parce qu’il s’est pris les pieds dans le tapis? Vu l’influence du personnage auprès d’une partie de la communauté musulmane et d’une certaine «claque» intellectuelle occidentale, la question n’est pas sans importance.
La mauvaise chute de Tariq al-Capone
J’ai toujours considéré inélégant de tirer sur l’ambulance. Mais que faire lorsqu’on est en guerre et qu’on se rend compte que l’adversaire utilise les ambulances pour exfiltrer ou relocaliser ses troupes? On l’aura deviné, je parle du panier à salade qui a évacué M. Tariq Ramadan de l’arène des idées pour le transférer sur le terrain du procès de mœurs. Malgré la gravité des accusations qui pèsent sur lui, certains en éprouvent comme une frustration. Comme si Frère Tariq, tel Fantômas, s’était encore une fois tiré d’affaire avec son habileté d’anguille.