manipulation
Pourquoi il ne se passe rien (2/2)
A la suite du documentaire d’Adam Curtis, [*Hypernormalisation*](https://www.youtube.com/watch?v=-fny99f8amM) (voir Antipresse 101), sur le remplacement de notre réalité contemporaine par un monde de synthèse, j’ai réinterprété certains événements cruciaux de ma propre vie, et qui ont déterminé mon destin.
Pourquoi il ne se passe rien (1/2)
Nous nous sentons dépossédés comme citoyens, trompés comme électeurs, exploités comme consommateurs, empoisonnés comme patients. Notre environnement est tissé de faux-semblants. Malgré les catastrophes qui menacent et les révélations fracassantes sur la corruption du système, rien ne change, personne ne bouge. Pourquoi? Sommes-nous tous paranos, ou notre monde se serait-il mis à marcher selon d’autres règles?
lire plusLes Antifas sans cagoule
Ils frappent partout, mais semblent venir de nulle part. Ils dénoncent un «fascisme» omniprésent et fantasmé. Ils n’ont aucune existence juridique mais bénéficient d’incroyables indulgences judiciaires. Qui sont-ils?
La fin de la prescription
45 ans après les faits, en tout cas ceux qu’elle allègue, une femme vient de déposer plainte contre le cinéaste Roman Polanski: une plainte pour viol. Elle l’a fait en Suisse, mais c’est le *New York Times* qui a publié l’information. Les juges suisses ont dit qu’ils allaient ouvrir une enquête.
La «Tempête de Jazeera», cet orage qu’on vous cache
Alors que les ouragans ravagent les côtes de l’Amérique, une tempête — d’origine américaine elle aussi — s’emploie à dévaster ce qu’il reste de la Syrie. Le public européen n’en reçoit que des bribes d’informations qu’il est difficile de relier entre elles.
La danse des éléphants
*The elephant in the room*, l’éléphant au milieu de la pièce: c’est le «petit détail» gros comme une maison, mais qu’on omet de voir et de nommer pour de mystérieuses raisons.
Le dernier moine birman
Le monde entier s’apitoie sur les Rohingyas, unanimement proclamés «peuple le plus persécuté de la planète» dans une concurrence pourtant rude. Mais on se garde bien d’évoquer les réalités historiques et géopolitiques qui ont conduit au drame actuel.
Barcelone, des attentats sans cause ni effet?
Attentats! Émotion! Confusion! Padamalgam! Pas-en-notre-nom! Etc. — Mais si l’on reprenait les choses à la base, en restaurant la logique des actes et la chronologie des faits? Curieusement, nos médias de grand chemin n’y ont pas pensé. Fernand Le Pic s’est chargé de cette tâche minutieuse et ingrate.