OTAN
Le non-Etat fripon (Transnistrie, 2)
L’existence de cette entité est une acrobatie de tous les jours. Elle a pourtant quelques arguments pour elle qui ont de quoi dissuader même les stratèges du «regime change» américains.
Comment faire basculer la Transnistrie?
La Transnistrie est à la Moldavie ce que le Donbass est à l’Ukraine. Bien plus qu’une épine dans le pied, elle est une source de conflit que certains souhaitent exploiter à leur profit.
Fous alliés
Le G7 s’est donc réuni en Bavière en ce début d’été. On se rapproche, comme nous l’avions annoncé en mai, de Berchtesgaden et le bunker de Berlin est au bout de l’étape. Les chefs des sept Etats les plus imbus d’eux-mêmes ont chaussé leurs chapeaux en fer blanc et agité leurs grelots. La bouffonnerie fut stratosphérique.
DÉSINFORMATION • De quelle arme nucléaire parle-t-on?
Concrètement, et malgré les guillemets, Poutine n’a rien dit de tel!
Aveuglés par le soleil noir
La Russie ne peut pas perdre cette guerre, l’Occident ne veut rien concéder et le pouvoir ukrainien célèbre des divinités assoiffées de sang. Toutes les conditions d’une montée aux extrêmes sont réunies et elle aboutira à la destruction complète de l’Ukraine. Voire plus si affinités.
SERBIE-OTAN • Des avions civils comme boucliers humains
Quel pouvait être le but d’une telle manœuvre de l’OTAN? Simplement tester la DCA russe ou provoquer une «bavure» sur un vol civil, avec des centaines de victimes à la clef
Tout Russe ordinaire est un Poutine qui s’ignore
En rééditant «Le syndrome Tolstoïevsky» dans le premier Antipresse de l’année 2022, j’étais poussé par un pressentiment et une conviction. Le pressentiment que le rapport de l’Occident avec la Russie serait le grand enjeu de cette année et la conviction que le réveil de l’Europe passait par un retour à la raison dans ses relations avec ce pays.
Guerre en Ukraine: une faute stratégique de l’Occident
L’extension de l’OTAN jusqu’aux frontières de la Russie était une course suicide. L’iceberg était visible de très loin, pourtant l’Occident n’a pas modifié son cap d’un millimètre. Les mises en garde, pourtant, n’ont pas manqué.
Comment on a tiré l’Ours de sa tanière
Passant hier encore pour la zone la plus chaotique et la plus corrompue de l’Europe, l’Ukraine est devenue le bastion héroïque de toutes «nos» valeurs. Mais si l’on jette un coup d’œil en coulisses, ce malheureux pays apparaît comme un pion cyniquement sacrifié sur l’échiquier géopolitique par ceux-là mêmes qui s’apitoient sur son sort. Tout est dramatisé, «storyfié», canalisé vers la plus grande tragédie possible. Etrangement, le *spin doctor* de la présidence ukrainienne l’avait lui-même annoncé avec trois ans d’avance.