
Slobodan Despot
Fondateur / Directeur / Rédacteur
Son nom n’est pas un pseudonyme! Suisse d’origine serbo-croate, Slobodan Despot a baigné dans le livre toute sa vie. Traducteur, directeur de collections puis directeur adjoint des éditions L’Age d’Homme, il a été le cofondateur en 2006 des éditions Xenia, qu’il dirige actuellement. Il a traduit une trentaine de livres de quatre langues et collaboré à la publication de centaines d’autres.
Dans ses nombreuses vies parallèles, Slobodan Despot a été photographe, directeur de magazines, porte-parole de Franz Weber, conseiller en communication, parolier et surtout romancier (Le Miel et Le Rayon bleu, aux éditions Gallimard).
« Les peuples où les hommes pensent que la littérature n’est qu’un loisir sont des peuples perdus. La littérature est un plaisir, mais non un loisir ni une distraction. La littérature, c’est la sève même de la vie, restituée de manière infalsifiable. La littérature ment en permanence pour dire le vrai, mais un écrivain qui ment à son lecteur n’est pas un bon écrivain et ne restera pas. La sincérité totale est la première vertu d’un auteur. C’est sans doute pourquoi Victor Hugo écrivait nu. »
«Hommes sans littérature, hommes sans échine», Antipresse n° 22, 1.5.2016.
Les articles de Slobodan Despot
Médias: dissonance cognitive pour tous
Ou comment la cacophonie des points de vue et la confusion des faits et des opinions contribuent à vous déboussoler.
Lettre à un tyran
Margaret Anna Alice a adressé aux «Frankensteins flasques» de la dictature covidienne une mise en garde de haute volée. Nous avons décidé de la traduire en tant que témoignage de la colère qui gronde dans le monde entier face à la dictature, à l’inhumanité et à la tromperie des «petits maîtres» de l’hystérie sanitaire. Une colère qui n’est pas la marque des ignares et des fanatiques, mais précisément de gens hautement instruits et renseignés.
«La Naissance du jour» de Colette
Colette se met à sa table d’écriture comme elle veille aux tâches du jardin, au menu sur une table bien mise. Sa lecture provoque parfois des bouffées de nostalgie presque déchirantes aujourd’hui.
Le triomphe des zérodextres (de l’inaccomplissement, 2)
Nous avons pensé à tous les protagonistes, dans ce «Reset» global qui nous tombe dessus depuis deux ans. A la corruption, au coup d’Etat des élites, à la guerre biologique, à la crise financière… mais nous avons oublié un facteur clef. Le facteur essentiel, peut-être. C’est que la société qui est en train de se saborder avec un tel entrain est simplement trop stupide pour survivre.
La Russie enfile sa tenue de protection
Le ralliement du gouvernement russe à l’apartheid sanitaire a choqué et alarmé des millions de gens libres dans le monde pour qui la relative liberté des Russes était un signe d’espoir. S’agit-il d’un basculement complet dans le camp covido-mondialiste ou d’autre chose encore, de plus inquiétant?
«Entre chien et loup» de Franz Weber
Reconnaissant envers l’Eternel pour la beauté infinie de la Création, Franz Weber, digne et humble, le dit et l’écrit: «Je suis à genoux devant toi.» Il proclame ainsi un respect absolu pour l’ensemble du vivant.
Nouvelles de l’Église de Jéhovax
Rapide tour du monde des apparitions, hallucinations et mystifications de la première religion universelle de l’humanité.
Dmitry Orlov: «Les adorateurs du Diable n’ont pas d’avenir»
Ingénieur russe ayant vécu la plus grande partie de sa vie aux États-Unis, Dmitry Orlov est l’un des fondateurs de la «collapsologie». Il dépeint la société industrielle en phase terminale avec un humour noir irrésistible et une lucidité énervante. Orlov est retourné en Russie, d’où il nous a envoyé quelques appréciations lapidaires sur la situation actuelle.
Pourquoi je pourrais un jour me faire vacciner
En guise de réponse à un lecteur exaspéré, et avant de passer à autre chose, je livre ici mon «credo» au sujet du bizutage universel auquel nous sommes cordialement invités.
Le mur de Zermatt
Jadis, l’illustre station alpine prospérait au pied du Cervin, ce symbole de la Suisse. Désormais, Zermatt s’est dotée d’un autre symbole: un mur en béton. Il n’est pas sûr que ce dernier soit aussi profitable au tourisme.
La pandémie de Saint-Guy (Journal de Coronafoirus, 19)
L’humanité prise de frénésie se contorsionne, se masque et se démasque et se pique à répétition comme un junkie survolté. Ce petit tour du monde des transes, des délires et des pulsions de lucidité étouffées nous lance un «signal faible»: et si le couvercle lâchait? Si une explosion de réalité venait réveiller les somnambules? Ne risqueraient-ils pas de tomber du toit?
Maigret et le Grand Resette
Pandémie ou plandémie? Terreur montée de toutes pièces ou surexploitation d’une épidémie naturelle? Virus mutant ou chimère de laboratoire? Menace sanitaire réelle ou attaque sous faux drapeau contre la liberté des individus et des peuples? Ces discussions me semblent escamoter l’essentiel. Pour essayer de le démontrer, je n’ai pas trouvé de meilleur moyen que cette enquête un peu apocryphe du commissaire Maigret.