Slobodan Despot

Slobodan Despot

Fondateur / Directeur / Rédacteur

Son nom n’est pas un pseudonyme! Suisse d’origine serbo-croate, Slobodan Despot a baigné dans le livre toute sa vie. Traducteur, directeur de collections puis directeur adjoint des éditions L’Age d’Homme, il a été le cofondateur en 2006 des éditions Xenia, qu’il dirige actuellement. Il a traduit une trentaine de livres de quatre langues et collaboré à la publication de centaines d’autres.

Dans ses nombreuses vies parallèles, Slobodan Despot a été photographe, directeur de magazines, porte-parole de Franz Weber, conseiller en communication, parolier et surtout romancier (Le Miel et Le Rayon bleu, aux éditions Gallimard).

« Les peuples où les hommes pensent que la littérature n’est qu’un loisir sont des peuples perdus. La littérature est un plaisir, mais non un loisir ni une distraction. La littérature, c’est la sève même de la vie, restituée de manière infalsifiable. La littérature ment en permanence pour dire le vrai, mais un écrivain qui ment à son lecteur n’est pas un bon écrivain et ne restera pas. La sincérité totale est la première vertu d’un auteur. C’est sans doute pourquoi Victor Hugo écrivait nu. »

«Hommes sans littérature, hommes sans échine», Antipresse n° 22, 1.5.2016.

Les articles de Slobodan Despot

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Pourquoi il ne se passe rien (2/2)

A la suite du documentaire d’Adam Curtis, [*Hypernormalisation*](https://www.youtube.com/watch?v=-fny99f8amM) (voir Antipresse 101), sur le remplacement de notre réalité contemporaine par un monde de synthèse, j’ai réinterprété certains événements cruciaux de ma propre vie, et qui ont déterminé mon destin.

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Pourquoi il ne se passe rien (1/2)

Nous nous sentons dépossédés comme citoyens, trompés comme électeurs, exploités comme consommateurs, empoisonnés comme patients. Notre environnement est tissé de faux-semblants. Malgré les catastrophes qui menacent et les révélations fracassantes sur la corruption du système, rien ne change, personne ne bouge. Pourquoi? Sommes-nous tous paranos, ou notre monde se serait-il mis à marcher selon d’autres règles?

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Caitlin Johnstone: l’État profond n’est pas le problème. Le problème, c’est nous.

Elle se définit comme une [«rogue journalist»](https://caitlinjohnstone.com), une «journaliste-voyou», utopiste, pacifiste, gauchiste anti-establishment, et fonctionne selon un modèle professionnel inédit, rendu possible par l’internet: le journalisme «participatif», financé par ses propres lecteurs au travers de [Patreon](https://www.patreon.com/caitlinjohnstone).

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Ce que nous voulons faire de nous

Nous vous l’annonçons depuis plusieurs semaines: l’Antipresse va changer en profondeur dès son centième numéro. Il me paraît utile, avec un peu d’avance, de décrire le but que nous voulons atteindre et les raisons qui nous y mènent.

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Quand Bouvard et Pécuchet se convertissent au «French bashing»

Dans la dernière édition du magazine [*Éléments*](http://www.revue-elements.com/elements-En-marche-vers-l-uberisation.html), le talentueux François Bousquet consacre un dossier fouillé et burlesque à la nouvelle «Bible» de la haine de soi.

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