Collapsologie
Le concert du chaos
Voici revenu le temps des émeutes. Au soir de la victoire du Paris Saint-Germain, Paris s’est transformé en champ de bataille. Les forces de l’ordre sont-elles vraiment impuissantes face à de telles dérives? Ou ont-elles d’autres priorités et d’autres instructions?
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.
Peur civile, mode d’emploi
Voici que les autorités nous adressent des manuels d’instruction pour les situations d’urgence. Elles n’ont jamais eu de soucis de ce genre: pourquoi le font-elles maintenant? Quel est le but de cette panique diffusée sous le prétexte de vous rassurer?
Différer l’effondrement
Pour expliquer les bruits de bottes actuels en Europe occidentale, on évoque volontiers, afin de les banaliser, le précédent de la guerre froide, qui s’est achevé en 1989 avec la chute du mur de Berlin. En réalité, la comparaison ne mène pas très loin. On peut la tenter, mais ce sont surtout alors les différences qui retiennent l’attention.
Que la nation périsse!
Les peuples européens sont à l’heure actuelle doublement colonisés: par une migration incontrôlée, d’une part, mais d’autre part aussi par leurs propres dirigeants qui les méprisent et les traitent comme les anciens colons européens traitaient autrefois le reste du monde. Cette deuxième colonisation est au moins aussi importante de la première. Et en plus elle l’explique.
Déjeuner avec le diable
Il peut être profitable de déchaîner ou de favoriser le chaos. Mais les résultats ne sont pas toujours prévisibles. Comme dit la sagesse populaire, il faut y aller avec une très longue cuiller.
L’ennemi extérieur, notre meilleur ami
Il est à nos portes! Il menace nos familles, nos biens, notre argent, il veut tout nous prendre… Qui? L’État? Non, bien sûr: l’ennemi extérieur. Vous ne le pensez pas? C’est que vous travaillez pour lui!
Bons baisers du Groenland!
Que signifie, pour nous et pour le monde, la soudaine volonté d’expansion du président américain vers le Grand Nord? Et qu’avons-nous fait, nous autres Européens, pour mériter la flagellation que lui et son allié Musk nous infligent? Se pourrait-il que le Groenland devienne bientôt une destination enviable pour des Européens dépossédés de tout?
Le totalitarisme ordinaire: solutions et actions
Une critique a récemment été adressée à l’Antipresse: nous ne proposerions pas de solutions; notre constat serait purement descriptif et analytique — et, de ce fait, déprimant —, car nous n’apporterions ni remède ni action pour les lecteurs. J’ai voulu répondre à cette remarque à partir de ma propre réflexion et de mon expérience personnelle.