économie
L’automobile, une cellule pour rêver de liberté
Ces jours-ci, notre région est la victime du Salon de l’Auto de Genève. Victime, car la manifestation attire tellement de monde que les périphériques genevois ne sont plus qu’un bouchon. Les radios ne cessent d’exhorter le public à aller se pourlécher sur les bagnoles… *en train !*
La Suisse va voter pour ou contre son mythe fondateur
Dimanche 28 février dans l’après-midi, on saura. Le peuple suisse aura décidé si, oui ou non, il accepte de financer un second tunnel routier au Gothard.
De Bernard Loiseau à Benoît Violier, les maladies de la haute gastronomie
Tout auréolé de son titre de meilleur chef du monde, décerné par *La Liste*, réponse française — un peu moins prestigieuse — au fameux *50 Best Restaurants*, Benoît Violier a mis fin à ses jours il y a une semaine, sans que personne n’ait vraiment une explication convaincante à ce drame.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur 2016 sans oser le demander…
Un pratique survol de l’année 2016, mois par mois
Au nom des oubliées de la cause
*Parfois, on voudrait pouvoir dire la vérité, crue, juste parce qu’on a les mots pour le faire. Mais pour qu’ils soient entendus, ces mots, il faudrait qu’en face on les ait assimilés aussi — ils ne sont pas gratuits. Alors on se tait et le silence fait son chemin, gonflant la révolte…*
Les pauvres ne s’en sortiront pas tout seuls !
Ils sont 7,7% en Suisse, une réalité dérangeante pour les politiques, les patrons et les intellectuels de ce pays. Oubliés d’une réussite économique qui fait encore et toujours envie de par le vaste monde, les pauvres votent par ailleurs très souvent contre leurs propres intérêts. Zoom sur un paradoxe méconnu.
Joël Dicker, « big boss » du littérature business
L’écrivain aux trois millions d’exemplaires multiplie les beaux contrats publicitaires. Un indicateur des changements qui secouent le monde des livres ?
William Briggs: COP21, cent milliards pour un chantier impossible
Titulaire d’un doctorat en statistique de l’Université de Cornell, où il enseigne, William M. Briggs est épistémologue, philosophe et chercheur itinérant. Il s’intéresse en particulier à la philosophie et à la corruption de la science, ainsi qu’à l’inutilité générale de la plupart des prédictions. Il tient un [blog](http://wmbriggs.com) extrêmement stimulant pour quiconque refuse de prendre pour argent comptant les lieux communs de la technoscience institutionnelle.