Journalisme
Quand les mots valaient leur pesant de plomb
On pourrait s’étonner que le plus «grand public» des réalisateurs, Steven Spielberg, ait choisi en fin de carrière de tourner un film «engagé» comme *Pentagon Papers*. Son ode au courage des journalistes de jadis nous adresse, dit-on, un message pour notre temps. Oui, mais lequel?
La Suisse a-t-elle encore besoin d’un service public?
Avec le vote sur l’initiative «No Billag», le peuple suisse se prépare à dire OUI ou NON au maintien de médias de service public. Mais est-il possible de répondre à la question telle qu’elle est posée? Et que nous dit ce choix impossible sur l’état de la communauté helvétique?
Rien à signaler
Le public est-il devenu la Belle au bois dormant, attendant le baiser du réveil au milieu d’un château endormi? Si tel est le cas, le prince charmant qui la tirera de son sommeil ne semble pas devoir venir des médias de grand chemin.
Les détenteurs de la vérité nous parlent
Le 11 novembre dernier, à quelques mois du vote sur l’abolition du service public en Suisse, l’[Association des Anciens étudiants du Lycée-Collège de St-Maurice](http://www.alyca.ch) organisait un débat de haut vol sur le thème «Vérité et mensonges dans l’information». Hautement instructif!
A propos du Drone à venir
Ce nouveau titre est une promesse: celle d’une vue d’en haut et donc d’une vue d’ensemble, d’une *sunopsis*, déjà si chère à Polybe.
Ce que nous voulons faire de nous (2)
L’Antipresse lance son Drone! Et voici le pourquoi et le comment.
Ce que nous voulons faire de nous
Nous vous l’annonçons depuis plusieurs semaines: l’Antipresse va changer en profondeur dès son centième numéro. Il me paraît utile, avec un peu d’avance, de décrire le but que nous voulons atteindre et les raisons qui nous y mènent.
La danse des éléphants
*The elephant in the room*, l’éléphant au milieu de la pièce: c’est le «petit détail» gros comme une maison, mais qu’on omet de voir et de nommer pour de mystérieuses raisons.
La poire d’angoisse
Les progrès de la censure et de l’autocensure en Europe sont stupéfiants. Chaque semaine nous apporte son lot d’étoupes, de bâillons et de sparadraps. Si le mouvement poursuit sur sa propre logique, nous serons bientôt tous muets.