Littérature
Le grand défi du Coronavirus
On nous explique, on nous protège, on nous effraie, on nous conditionne… mais personne ne nous dira où se trouve la véritable clef de notre survie.
Rousseau, compagnon d’une vie (intermède)
J’ai comme tout le monde mes livres préférés, et à intervalles plus ou moins réguliers, il m’arrive de les relire, relectures qui sont toujours pour moi nourrissantes. Ce sont en fait des redécouvertes.
Marcher pour soi, marcher vers soi
L’humain industrialisé serait-il devenu plus bête parce qu’il ne marche plus? Nous n’en savons rien — sinon une chose: que la marche nous rend meilleurs, quoi qu’il arrive.
L’abbaye perdue
Si j’ai jamais réalisé une photographie gothique, c’est bien celle-là. Elle aurait pu servir de couverture à une anthologie du romantisme noir. Par-delà les effets d’horreur, cette littérature est riche de prémonitions étonnantes.
Affaire Matzneff, un théâtre de la terreur et de l’absurde
La nouvelle chasse aux sorcières en France s’acharne sur un écrivain connu, Gabriel Matzneff, qui n’a jamais fait mystère de sa pédophilie. Pourquoi maintenant et pas hier? Pourquoi lui et pas un autre? Et jusqu’où ce délire de l’hypermoralisme nous mènera-t-il?
Anno Domini 2019. L’état du monde vu par Slobodan Despot
Durant cette année, j’ai parcouru le monde d’extrême-Orient en Caraïbes, de la forêt nordique au Cameroun. J’ai raconté la plupart de ces voyages dans l’Antipresse. Or il est bon de traiter ses souvenirs comme un bon vin et de les laisser décanter quelques mois pour qu’ils dégagent tout leur arôme. Je m’arrête donc pendant quelques heures et vous propose un compte rendu entièrement personnel sur ce que j’ai vu, compris ou lu durant l’an 2019.
lire plusMillionnaires en esprit, ou les fumées de Cuba
«Jamais homme ne vit une terre plus belle», se serait écrié Colomb en découvrant Cuba. Chaque visiteur à sa suite aurait envie de partager son émerveillement. Sauf que tant de guerres, d’esclavagistes et d’ouragans sont passés par là, suivis de la révolution communiste. Les cicatrices que les âges et leurs mythes ont laissées composent un visage meurtri et profondément humain qu’on n’oublie jamais.
Le (tout) grand remplacement, ou l’Age de Fer
Sous ses airs rationnels, ce texte n’est qu’une digression de romancier sur un processus de décomposition-recomposition bien plus vaste qu’un «conflit de civilisations». Où l’on se demande si le remplacement des peuples n’est pas qu’un sous-produit du remplacement de l’homme en soi…
lire plusLes gâteaux que vous ne réussirez jamais
La quête des «vraies» recettes de grand-mère a toujours quelque chose d’effréné. Je ne m’étais jamais demandé pourquoi ces débats étaient toujours si intenses et si vains. En réalité, c’est parce qu’ils parlent de tout autre chose. De quoi?