Occident
Les voies modernes de la violence
On peut tuer l’être humain avec une arme. On peut aussi l’anéantir par le harcèlement, l’iniquité, la terreur et le stress. Et puis on peut l’user comme on pirate un ordinateur: en le forçant à un redémarrage perpétuel…
Le cœur aveugle
Le rapprochement de deux événements récents, sans lien apparent entre eux, m’a brièvement éclairé le fond des ténèbres où nous nous enfonçons. Je me suis lancé en quête de leur connexion souterraine.
Jusqu’où la Russie cédera-t-elle?
Le sort du monde est suspendu à la réponse que Washington donnera à la question suivante: doit-on prendre Poutine au sérieux lorsqu’il trace une énième ligne rouge et qu’il se déclare prêt à utiliser l’arme nucléaire au cas où l’Occident déciderait de livrer à l’Ukraine des missiles de longue portée pour attaquer la Russie à l’intérieur de ses frontières?
Éternité de l’Occident
On ne se débarrasse pas de l’Occident juste comme ça, parce qu’on l’a décidé. L’Occident a inventé la modernité, et depuis lors chaque société se voulant développée lui paie des droits d’auteur. Y compris l’Iran, la Russie et la Chine.
La pénible désoccidentalisation de la Russie
Comment gagner la guerre et mettre fin aux combats en Ukraine? Le cinéaste Nikita Mikhalkov, maître à penser des patriotes de Russie, estime que son pays ne pourra sortir victorieux que s’il gagne d’abord la guerre sur le front intérieur et dans les têtes.
Suicide par haine interposée
Quel rapport entre la mythomanie russophobe de Kaja Kallas et le chahut monté contre Novak Djoković à Wimbledon? Aucun, je vous assure. Juste une synchronicité. Ou de vagues soupçons de contagion haineuse?
La révolte des satrapes
Parmi les clients et les «alliés» de l’Empire atlantique, combien y en a-t-il qui obéissent, mais n’en pensent pas moins? Ces moutons noirs deviennent de plus en plus visibles. Voici un moyen de les identifier.
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.
La vraie crise: comment l’escamoter?
Il est bien connu que les autorités aiment faire diversion. On amuse ainsi les populations, et pendant ce temps on fait ce qu’on a envie de faire sans être dérangé.