Serbie
SERBIE-OTAN • Des avions civils comme boucliers humains
Quel pouvait être le but d’une telle manœuvre de l’OTAN? Simplement tester la DCA russe ou provoquer une «bavure» sur un vol civil, avec des centaines de victimes à la clef
Ah, ces Bordures et ces Syldaves!
Entre l’expulsion de Novak Djoković d’Australie et la montée des tensions entre l’OTAN et la Russie, on ne voit pas immédiatement le point commun. Il y en a un pourtant, et gros comme un fossé de civilisations…
Open d’Australie: on devrait aussi y jouer au tennis…
Tout compte fait, le gouvernement australien aurait peut-être mieux fait de prier le Djoker de rester chez lui…
Bienvenue dans la «Q ère»
Cette semaine, j’ai traversé un bon bout d’Europe en voiture. Tôt un matin, je suis parti de Suisse en direction de l’est. Etait-ce encore mon continent, si familier, ou un territoire inconnu, dévasté par une guerre invisible?
Novak Djoković: plus qu’une carrière, un destin
L’arrestation de Novak Djoković en Australie a fait du n° 1 du tennis mondial un prisonnier politique. Ce coup de théâtre absurde, révoltant, arbitraire est l’image même de ce qu’est en train de devenir une société intoxiquée par la religion sanitaire.
Les chaînes du nouveau monde
Le monde n’est-il pas devenu depuis longtemps déjà une prison dont les fils de fer barbelés ne sont pas le symbole le plus voyant?
Serbie: une rivière rouge pour votre mobilité verte
On n’en parle guère en Occident, mais la Serbie est agitée depuis des mois par une révolte populaire dont l’enjeu est l’environnement du pays et la cause… «notre» passage à la mobilité dite «propre». Et, au-delà, la guerre des provocations et des coups tordus qui s’échangent entre la Russie et l’OTAN.
«La bouche pleine de terre» de Branimir Šćepanović
Cette traque absurde d’un solitaire qui ne demandait qu’à mourir tranquille est un des chefs-d’œuvre de la littérature de l’après-guerre. Il nous parle aujourd’hui plus que jamais.
Jacques Hogard: le Kosovo, plaie ouverte de la déconstruction européenne
A peine repliés d’Afghanistan, les États-Unis remettent la pression sur les Balkans en annonçant une diplomatie plus dure et «lâchant les chiens» de la police kosovare contre les Serbes du Kosovo. Au même moment, les eurocrates élaborent des plans de réorganisation de la zone qui ne peuvent que réveiller des conflits péniblement apaisés. Le colonel Jacques Hogard, qui commanda les forces spéciales engagées en précurseurs sous commandement de l’OTAN au Kosovo en 1999, n’a jamais cessé de surveiller ce champ de mines du sud-est européen. Il nous livre un aperçu de la situation sur le front.