totalitarisme
Refuser l’État?
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.
Les transformations du régime occidental
Quand on parle de ce qui se passe aujourd’hui en Europe, plusieurs phénomènes se croisent et par là même aussi, bien souvent, s’interpénètrent et se conditionnent mutuellement. Pour autant, il n’est pas interdit de les considérer chacun pour lui-même.
Tableaux berlinois
Ma dernière visite dans la capitale allemande remonte à presque vingt ans. Ce n’était déjà plus — de loin — le Berlin de la Guerre froide, mais les cicatrices laissées par le XXe siècle étaient encore à vif. L’ombre du Führer planait lourdement sur la ville, reflétée par l’effort même, appuyé et balourd, que déployait l’Allemagne pour occulter son passage. Qu’en est-il aujourd’hui, à la veille des célébrations marquant les quatre-vingts ans de la libération? Et qu’a-t-on, véritablement, libéré?
Reiner Fuellmich, David contre Goliath
Très peu médiatisés, l’arrestation, le procès et la condamnation du Dr Reiner Fuellmich constituent l’un des plus grands scandales judiciaires de ce temps. L’ampleur de l’iniquité est proportionnelle à la peur qu’inspirent les enquêtes de cet homme. Le verdict concernant la condamnation du Dr Reiner Fuellmich a été rendu par le tribunal régional de Göttingen en date du 25 avril 2025: trois ans et neuf mois de prison, incluant la préventive. Il lui reste ainsi à purger deux ans et huit mois de prison. Un témoin gênant Rappelons au préalable qui est Reiner Fuellmich. Avocat international célèbre aux barreaux allemand et californien, il s’était fait remarquer par ses victoires dans les luttes anticorruption contre des multinationales, telles Deutsche Bank, Volkswagen, Kuehne+Nagel. Mais sa notoriété provient de ses fortes prises de position lors de la «pandémie politique» du Covid, avec l’instauration d’un Comité d’Enquête Corona, puis l’organisation internationale du Grand Jury. […]
Les principaux contresens sur le totalitarisme
Au sujet du totalitarisme, en raison de la confusion actuelle savamment entretenue par le milieu intellectuel, beaucoup de lecteurs m’ont demandé de prendre le temps de bien revenir sur certains concepts qui peuvent être complexes à comprendre. Voici donc quelques éclaircissements.
Cartes sur table
La politique américaine est brutale et violente. Mais elle l’a toujours été. La nouveauté, avec Trump, c’est qu’elle ne s’en cache pas et même qu’elle s’en vante. L’Europe elle aussi a laissé tomber ses apparences de vertu démocratique. La massue judiciaire est son seul argument face aux opposants.
Les négateurs du totalitarisme
Certains historiens s’emploient avec zèle à discréditer le concept même de totalitarisme. Curieusement, les mêmes sont restés muets sur ses incarnations récentes, en particulier l’épisode pseudosanitaire. Leur manquerait-il une dioptrie pour lire les messages de l’histoire?
Protéger nos enfants… de l’Etat!
Quand les institutions internationales et les Etats s’emploient à normaliser la pédophilie, les parents restent leur dernier recours. Encore faut-il qu’ils sachent à quoi ils ont affaire. Le livre d’Ariane Bilheran et Régis Brunod nous donne des armes pour reconnaître et combattre ces abus généralisés.
1984 de George Orwell
«La guerre, c’est la paix,la liberté, c’est l’esclavage,l’ignorance, c’est la force.»