totalitarisme
Rois fous et lignes rouges: l’Occident en perdition
Être coupé de la réalité, c’est ce qu’on associe volontiers à la folie. C’est être fou en effet que d’être coupé de la réalité, de ne pas la voir, alors même qu’elle s’offre à notre regard: là sous nos yeux.
La source et la ressource
Il ne faut pas passer trop de temps au voisinage des forces mauvaises. On en est comme irradié et l’on finit au lit. Une brève maladie m’a permis, en fixant le plafond, d’y voir des visages. Et de me rappeler que toute notre histoire n’est que le reflet de ce que les hommes en font.
Guerre, sanctions, dictature
J’ai cité la semaine dernière le livre de Naomi Klein, «La Stratégie du choc», paru en 2008, qui fournit une bonne grille de lecture des événements du dernier demi-siècle. Aujourd’hui encore, ce livre reste très éclairant.
Après la guerre, la famine
Ainsi nous arrivons à la troisième calamité annoncée. Après la peste (ou la pandémie), voici la guerre, et après la guerre… Nos gouvernants ont déjà préparé le scénario de la suite et nous ne pourrons pas dire qu’on ne nous aura pas prévenus!
L’Internazionale (Chroniques du totalitarisme, 9)
Les silhouettes d’une secte occulte traversent toute l’histoire contemporaine. Sommes-nous bien sûrs d’avoir vaincu le nazisme et liquidé le dossier à Nuremberg? Comment alors avons-nous pu laisser le personnel, les techniques et les idées de ce mouvement se mettre à l’abri puis se recycler dans l’Europe de l’après-guerre? Et pourquoi suscite-t-il aujourd’hui autant de fascination et de déni à la fois?
Totalitarisme «du bas» et totalitarisme «du haut»
Le conditionnement de masse est devenu une science à part entière. Il fait feu de tout bois, et le carburant abonde ces jours-ci. Mais quelle peut bien être la finalité de ce viol constant des foules?
«La lie de la terre» d’Arthur Koestler
«Il faudra qu’un nouveau mouvement crée un nouveau climat moral où les moyens justifient la fin et non le contraire. Créer ce climat moral: je crois que c’est pour cela que je me bats.»
Julien Syrac, de l’inconvénient d’être né
Dans un imposant pavé de 840 pages, un auteur d’à peine 32 ans a livré une fresque souveraine de la dérive totalitaire où nous avons basculé en 2020. «Déshumanité» est le titre de son livre, et aussi le diagnostic qu’il pose sur les deux années de dystopie covidienne qui s’achèvent ces jours-ci.
Le sommeil de la raison engendre des monstres
Russie contre OTAN, Orient contre Occident, action contre communication, réalité physique contre réalité augmentée… La fracture est abyssale. Elle dessine la ligne de front d’une guerre des mondes. Pour la comprendre, il faudra de plus en plus aiguiser notre sens métaphysique.