États-Unis
La guerre d’Ukraine n’aura pas de fin
Elle ne fera que se diluer dans le paysage. Jusqu’à l’implosion de ses commanditaires. Ou au bouquet final…
Un avion à notre goût
La Suisse avait-elle vraiment besoin du F-35? On peut en douter. En tout cas, il n’y a pas eu de sérieux débat sur la question. D’ailleurs il eût été futile. La vraie question, c’est: la Suisse aurait-elle pu se permettre de ne pas l’acheter aux Américains? (Et aussi, subsidiairement: combien la rançon va-t-elle lui coûter au bout du compte?)
Extension du domaine de la défaite
La mémoire collective efface souvent les instants initiaux d’un grand événement historique. J’ai donc voulu consigner, pour la chronique des temps, les premiers jours du grand conflit Israël-Iran. Mais je me suis aperçu au fil de l’écriture que ces premiers jours portaient déjà en germe l’aperçu de la fin.
La Guerre de Géorgie n’aura pas lieu
Les stratèges se doivent d’avoir toujours un plan B dans la gestion d’un conflit. En fonction de la situation, ce plan pourra évoluer, s’adapter et même se démultiplier.
Démocratie, le régime qui n’existe pas (II): le grand détournement
Ou comment l’oligarchie a absorbé la «démocratie» américaine. Histoire d’une révolte fiscale et politique.
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.
Semainier de l’expectative
Voici encore une de ces semaines frénétiques dont nous ne comprendrons l’importance que bien plus tard, à moins que les mémoires ne soient court-circuitées par cette cataracte d’événements. Donnons-nous une pause dans la réflexion en nous limitant à la chronique et à la description, histoire de simplement consigner les faits.
Poutine serait-il une oie blanche?
La volonté affichée par Trump de mettre fin à la guerre en Ukraine est-elle le signe d’un retour à la raison et à la paix? Non, pensent les analystes les plus prudents, et la Russie risquerait bien de se faire rouler une fois de plus à ce jeu.
Fuite en avant
Les Européens se retrouvent pris en tenailles entre deux «ennemis», l’américain et le russe. À partir de là, quelles options s’offrent à eux? Et laquelle vont-ils choisir?