Slobodan Despot

Slobodan Despot

Fondateur / Directeur / Rédacteur

Son nom n’est pas un pseudonyme! Suisse d’origine serbo-croate, Slobodan Despot a baigné dans le livre toute sa vie. Traducteur, directeur de collections puis directeur adjoint des éditions L’Age d’Homme, il a été le cofondateur en 2006 des éditions Xenia, qu’il dirige actuellement. Il a traduit une trentaine de livres de quatre langues et collaboré à la publication de centaines d’autres.

Dans ses nombreuses vies parallèles, Slobodan Despot a été photographe, directeur de magazines, porte-parole de Franz Weber, conseiller en communication, parolier et surtout romancier (Le Miel et Le Rayon bleu, aux éditions Gallimard).

« Les peuples où les hommes pensent que la littérature n’est qu’un loisir sont des peuples perdus. La littérature est un plaisir, mais non un loisir ni une distraction. La littérature, c’est la sève même de la vie, restituée de manière infalsifiable. La littérature ment en permanence pour dire le vrai, mais un écrivain qui ment à son lecteur n’est pas un bon écrivain et ne restera pas. La sincérité totale est la première vertu d’un auteur. C’est sans doute pourquoi Victor Hugo écrivait nu. »

«Hommes sans littérature, hommes sans échine», Antipresse n° 22, 1.5.2016.

Les articles de Slobodan Despot

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Géopolitique du kitsch

Les masques tombent en cascade, les révélations et les coups de théâtre pleuvent. C’en est trop. Or tout ce qui est excessif est insignifiant. C’est pourquoi nous ne ressentons plus ces chocs tectoniques. Nous sommes immergés dans un monde du faux semblant et de l’impuissance. Jusqu’à quand?

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Mateusz Piskorski: «La Pologne agit contre elle-même»

La Pologne est l’un des États les plus belliqueux du bloc occidental face à la Russie. On a pu croire que l’élection de Karol Nawrocki cet été conduirait à une attitude plus équilibrée et plus rationnelle, mais tel ne fut pas le cas. Or, les Polonais sont loin de partager, tous, la russophobie «structurelle» du pouvoir politique. Les analyses nuancées d’un Mateusz Piskorski en sont un exemple.

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Lincoln, Kennedy, Kirk

Était-il un apôtre du Christ, un missionnaire du réarmement moral américain ou seulement un agent de relations publiques très efficace du mouvement MAGA? La personnalité de Charlie Kirk s’avère plus vaste et plus profonde que son époque. C’est pourquoi son assassinat pourrait marquer la troisième inflexion par balles de l’histoire américaine.

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E-ID: puissance d’agir et levier de contrôle

Vous voulez acheter, signer, accéder partout et tout de suite? Alors, vous déléguez à une infrastructure le soin d’établir la preuve de qui vous êtes. Côté face, vous vous démultipliez; côté pile, l’infrastructure vous tient par le service même qu’elle vous rend.

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Les mots et le plomb

Le 10 septembre 2025, Charlie Kirk, président d’une association d’étudiants conservateurs et soutien clef de la campagne de Donald Trump, était abattu d’une balle dans la carotide pendant une réunion en plein air dans l’Utah. Le jeune père de 31 ans laisse une veuve et deux enfants. L’onde de choc provoquée par cet assassinat est considérable, mais elle ne fera que s’amplifier.

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«Le Bien, captif, ayant le Mal pour capitaine…»

Las du monde, j’aspire au repos éternel Quand je vois le talent réduit à la misère, La nullité partout triomphante et prospère, La foi qui se parjure à la face du ciel, L’honneur prostituant son éclat immortel, De vierge la pudeur devenant adultère, La justice exilée aux confins de la terre. Les abus tortueux d’un pouvoir criminel, L’art qu’avec ses deux mains l’autorité bâillonne, La sottise en bonnet qui doctement ânonne, Le cœur dans le devoir toujours moins affermi, Le Bien, captif, ayant le Mal pour capitaine; — Oui, voyant tout cela, que je mourrais sans peine Si je pouvais mourir sans perdre mon ami! — Shakespeare, Sonnet LXVI.

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