Moi je vous reproche de peindre des hommes sans ailes, sans griffes et tout petits. Vous me faites le reproche de démesure, je vous fais le reproche d’aveuglement. Je vois mieux que vous le devenir.
— Jean Giono
Moi je vous reproche de peindre des hommes sans ailes, sans griffes et tout petits. Vous me faites le reproche de démesure, je vous fais le reproche d’aveuglement. Je vois mieux que vous le devenir.
— Jean Giono
Jean Vigo laissa son empreinte dans le cinéma français avec seulement quatre réalisations. Il fut emporté par la tuberculose à l’âge de 29 ans. Selon Georges Sadoul, «Vigo se montra un poète génial, le Rimbaud du cinéma.»
Voici revenu le temps des émeutes. Au soir de la victoire du Paris Saint-Germain, Paris s’est transformé en champ de bataille. Les forces de l’ordre sont-elles vraiment impuissantes face à de telles dérives? Ou ont-elles d’autres priorités et d’autres instructions?
En ne prévoyant plus de bibliothèques dans ses ses nouveaux lycées, le gouvernement du Valais innove dans une direction inédite. Mais de quoi nous parle ce «bougisme»?
Ou comment l’oligarchie a absorbé la «démocratie» américaine. Histoire d’une révolte fiscale et politique.
Si tu veux la paix, prépare la guerre. La philosophie du «parti militariste» s’arrêtait traditionnellement à ce précepte. Désormais, tous les partis de pouvoir en Europe réclament la guerre non pour la paix, mais… pour la guerre en soi! C’est une situation jamais vue dans notre histoire. Est-elle entièrement sans alternative?
La démocratie est une idole politique : un bagage sommaire en sciences politiques suffit pour s’apercevoir qu’elle n’existe pas, mais il est très mal vu de ne pas s’en réclamer. C’est, à peu près, le thème d’une série d’articles dont vous lisez le premier.
Dans le livre qu’il vient de consacrer à Jean-Jacques Rousseau, Alain de Benoist s’attaque à une question cruciale: le turbulent philosophe de Genève est-il un homme des Lumières ou un homme des contre-Lumières?
Les premiers jours d’un nouveau pape sont toujours enveloppés de perplexité, d’espérance et de mystère. Athanase Zaïtsev nous livre ici une perspective catholique traditionnelle sur cette élection qui a surpris beaucoup de monde.
Jusqu’il y a peu, la Corée du Nord était considérée comme le trou du monde. En Russie, pourtant, on lui trouve de plus en plus de charmes.
Nous avons vu que l’État profond, décrié aux États-Unis, avait pris sa position de repli en Europe. Les événements actuels de Roumanie nous permettent de situer plus précisément son épicentre.
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.