France
Non, la France n’est pas en guerre!
…Enfin, pas celle qu’on lui promet. La France risque de se réveiller demain en comprenant qu’elle était elle-même la cible de la guerre proclamée par M. Macron. Mais il sera trop tard. Avec ou sans virus, elle devra vivre pieds et poings liés.
lire plusSYRIE-INFRAROUGE • Curieuse amnésie d’une apparatchique française
La nomenklatura française, même à l’étranger, continue d’illustrer avec panache sa résistance au réel.
ASSANGE • Le mensonge effronté du «Monde»
Qui a toujours eu le souci de la protection des sources? Julian Assange ou les médias mainstream qui lui donnent les leçons après l’avoir exploité? Des «oublis» sidérants…
MÉDIAS • Les bons et les mauvais complots
Les anticomplotistes aussi aiment beaucoup les experts, ces spécialistes diplômés qui accréditent leurs théories!
ART • Quand le Louvre corrige l’histoire bulgare
Le prestige du cadre n’a pas suffi à faire avaler aux Bulgares le motif «pédagogique» de cette exposition: la «conciliation» de l’art chrétien et islamique en Bulgarie.
Maquillage et camouflage, les deux mamelles de la liberté d’expression macronienne
Ainsi donc, entre une loi Avia qui installe la censure, un parquet qui classe un volet de l’affaire Mila en phase avec les intérêts de sa ministre et un président qui joue au garant de la liberté d’expression à Angoulême, la Macronie ressemble de plus en plus à une très mauvaise comédie de boulevard. Mais c’est sans doute plus grave que cela.
SOLAIRE • L’énergie verte n’est pas toujours… branchée
Depuis six mois, les panneaux solaires de Roubaix chauffaient dans le vide, car on avait oublié de brancher les panneaux.
MEDIAS • RT leader mondial: triomphe ou symptôme?
vec 10 milliards de vues et 16 millions d’abonnés, RT largue tout le monde, d’Euronews à CNN, sans oublier la BBC ou Al Jazeera.
Affaire Matzneff, un théâtre de la terreur et de l’absurde
La nouvelle chasse aux sorcières en France s’acharne sur un écrivain connu, Gabriel Matzneff, qui n’a jamais fait mystère de sa pédophilie. Pourquoi maintenant et pas hier? Pourquoi lui et pas un autre? Et jusqu’où ce délire de l’hypermoralisme nous mènera-t-il?