Philosophie
Échos de la bataille ultime (Journal de Coronafoirus, 11)
Le journal de Coronafoirus, livre de bord de la dystopie covidéologique, approche de son premier anniversaire. En faisant le bilan de la plus étrange année de nos vies, j’ai essayé d’en comprendre le fil rouge. Tiendrait-il dans ce projet qui se mord la queue: des hommes qui essaieraient d’abolir l’humain en eux?
LISEZ-MOI ÇA! • «Sur la non-violence et la patriotisme» de Tolstoï
La paix régnera quand l’humanité aura appris, non pas gommer ses différences, mais à les accepter
LISEZ-MOI ÇA! • «Antigone» de Sophocle
L’amour et la liberté sont-ils au-dessus de la loi, des lois? Sophocle a posé toutes les questions essentielles.
En 2021, que défendre encore?
«Que voulons-nous encore défendre?»: tel est le titre d’une conférence prononcée le 21 janvier dernier à l’École de guerre à Paris par le philosophe et député européen François-Xavier Bellamy.
Le temps des Antigones
Dans cette naissance à soi qu’est le NON radical, j’ai vu des femmes s’illustrer plus entièrement que des hommes. Elles m’ont rappelé que la longue filiation des objecteurs de conscience descend de leur ancêtre Antigone.
Bienvenue en Notopie
La notopie n’est ni désirable comme une utopie, ni terrifiante comme une dystopie. C’est la promesse populiste du centre et de la médiocrité, l’état d’apathie terminale d’une société qui ne veut plus vivre.
Vivre dans un temps brisé, 5 et fin
En cette dernière chronique de l’année 2020, la dernière aussi de notre série actuelle, nous nous interrogerons sur nous-mêmes et nous demanderons donc: comment vivre en un temps brisé?
Quand la politique devient impuissante (Vivre dans un temps brisé, 2)
Nous avons cité la semaine dernière une lettre de Hannah Arendt, écrite deux jours après l’assassinat du président Kennedy et ayant pour destinataire le philosophe Karl Jaspers. Cette lettre est capitale pour comprendre le temps où nous sommes.
Vivre dans un temps brisé
Depuis la fin de la guerre froide, le temps est-il devenu fou? Des événements monstrueux s’enchaînent et rompent le cours de nos vies, sans que nous puissions les comprendre ni les expliquer jusqu’au bout. Les structures sur lesquelles nous nous appuyons ne sont-elles en définitive qu’un flux insaisissable?