propagande
La fleur au fusil
L’histoire, on le sait, est ce que jamais on ne verra deux fois, mais quelque part aussi elle se répète. À quoi pensons-nous en le disant? Bien sûr aux événements actuels. Car à défaut de pouvoir empêcher les choses de se faire, au moins peut-on essayer de les comprendre.
La démocratie comme réalité
Quand nos apparatchiks se drapent dans «nos valeurs», de quoi parlent-ils exactement? Du fondement réel de notre vie et de la leur, ou d’un ensemble de slogans à usage purement rhétorique? La question est importante. Elle touche au fondement même de leur légitimité.
Le camp des Parfaits
Les guerres génèrent des situations extrêmes où le «juste milieu», le plus souvent, n’est plus permis. Chacun est aujourd’hui sommé de choisir son camp et le simple fait de *ne pas condamner* le côté désigné comme l’empire du mal vous expose à la vindicte. Ces situations sont à la fois choquantes et très révélatrices. Elles nous reposent la question la plus ancienne de notre histoire humaine, ce dilemme à cause duquel nous avons été expulsés du paradis terrestre. La question de la connaissance du bien et du mal.
Guerre civile mondiale
En Suisse comme ailleurs, le cœur des médias bat au rythme d’une propagande d’une particulière intensité. On se demande parfois si le cœur va tenir.
De quoi sommes-nous encore citoyens?
A l’heure où le drapeau LGBT, emblème d’une infime minorité sexuelle, flotte sur les bâtiments officiels, on peut s’interroger sur ce que nous avons encore de commun avec des dirigeants qui nous imposent de telles «valeurs». A quelle cité, au fond, devons-nous encore allégeance?
Que nous apprend le virage à 180° des médias au sujet des ovnis?
Le fait que les médias de masse se répandent désormais en long et en large sur les ovnis parce que l’armée américaine leur a dit que c’était un sujet légitime ne dit pas grand-chose sur les ovnis, mais en dit long sur les médias de masse.
Trop vrai pour être vrai (La criminalité en mouvement, 3)
La question que tout le monde se pose est forcément: pourquoi tant de soumission? Tant de coopération même, puisque les populations ne se limitent pas à faire ce qu’on leur dit de faire, mais témoignent d’un certain empressement à le faire, comme on le voit avec la crise sanitaire? C’est très étrange.
Covid-19: un détournement cognitif à l’échelle mondiale?
Le «gaslighting» est entré dans la littérature scientifique à partir du théâtre et du cinéma. Le terme est largement utilisé pour décrire les manipulations de masse médiatiques. Jeff Harris se demande si les directives absurdes et contradictoires sur la Covid ne sont pas train de nous «gaslighter» à jet continu.
MÉDIAS • Un médiologue allemand exaspéré
Le traitement du Covid-19 par la presse occidentale restera-t-il dans l’histoire comme un nouveau «Tchernobyl de l’information»?