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Les «Rêveries du Promeneur solitaire» de Rousseau, ou la nécessité de la rêverie

Critiqué de toutes parts, pour des motifs par ailleurs plus ou moins discutables, Jean-Jacques Rousseau mérite d’être lu avec une attention renouvelée. Loin de la philosophie politique ou des questions d’éducation, les «Rêveries du Promeneur solitaire» (1776) livrent une sagesse riche et profonde dont nous pourrions sans doute tirer grand profit en ces temps ahuris. Il s’agit de retrouver dans la tourmente de ce monde le fil de la rêverie qui enchante les choses.

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Humilité

Dans mon imagination d’enfant, les îles Borromées n’étaient rien de plus qu’un de ces lieux où l’on emmenait jadis les classes en excursion scolaire. Par une curieuse anomalie, ces expéditions «éducatives» m’ont toujours évité, et c’est peut-être heureux. J’ai fini par découvrir ce locus amœnus cet été seulement, lors d’une virée en cabriolet avec ma fille.

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Swiss Glacier Limited

Si vous traversez en train le massif du Gothard en coupant le grand axe commercial nord-sud par l’axe métaphysique est-ouest, vous risquez de prendre dans la figure une grande leçon d’histoire mystique. Ou, à tout le moins, une infusion éblouissante de splendeur alpestre.

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Les ciels d’avant

La littérature des lieux, dite «régionale», est une littérature édénique. Elle infuse le macrocosme dans le microcosme. Elle ramène l’univers aux dimensions d’un domaine arpentable. Elle ordonne le chaos quand la littérature des dîners en ville s’emploie à le glorifier. Elle s’appuie si fort sur la nature que nous ne pouvons la survoler en touristes. C’est une littérature de la grande santé.

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Le Fort de Chillon, un parfum de Suisse héroïque

Il est des lieux qui «dégagent» un esprit. C’est un fait connu depuis la plus haute antiquité. Les hommes ont toujours été en quête d’abris pour la confidence, la méditation, l’amour ou pour tout simplement s’y sentir en sécurité. Les Latins appelaient cela *locus amœnus*: lieu amène, lieu idyllique. Mais peut-on qualifier d’idyllique un fort militaire?

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Notre Weimar (1)

Weimar prépare Hitler comme la noce prépare la gueule de bois. Les années folles du Bauhaus, des utopies et des cabarets ne furent-elles qu’un moment pittoresque de l’histoire ou l’un des mouvements d’un vaste balancier qui n’a jamais cessé d’aller et venir?

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TRIBUNE • Un lecteur sur sa falaise

Des lointaines Açores, un de nos abonnés nous a envoyé son histoire de vie et son témoignage.

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Valais mystique ressuscité

En 2009, j’avais publié aux éditions Xenia un livre de randonnées méditatives et spirituelles dans mon canton, le Valais, que j’aime tant.

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Nuits blanches (visions de Saint-Pétersbourg)

Depuis vingt-et-un ans que je retourne en Russie, je n’avais jamais visité Saint-Pétersbourg. L’occasion ne s’était pas présentée et j’avais cru pouvoir la compenser par quelques lectures. Mais je suis comme Simenon et son compère Maigret: je ne peux pas comprendre un lieu ou une situation sans l’avoir touché de mes doigts, humé, parcouru. De préférence, en y flânant sans but plutôt qu’en trottant derrière des guides.

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