«La bouche pleine de terre» de Branimir Šćepanović
Cette traque absurde d’un solitaire qui ne demandait qu’à mourir tranquille est un des chefs-d’œuvre de la littérature de l’après-guerre. Il nous parle aujourd’hui plus que jamais.
Cette traque absurde d’un solitaire qui ne demandait qu’à mourir tranquille est un des chefs-d’œuvre de la littérature de l’après-guerre. Il nous parle aujourd’hui plus que jamais.
«Pendant vingt années j’ai souffert à cause des souffrances de mon pays, et ces souffrances n’existent peut-être pas.» Ou le portrait poignant d’un homme déplacé.
Témoin et observateur génial des dérives de la modernité, dramaturge et satiriste, Fritz Dürrenmatt fut aussi un peintre remarquable. Son œuvre forme un tout.
Chesterton égrenait les paradoxes et les vérités brutales avec une verve jubilatoire et souvent prophétique. Son autoportrait intellectuel et moral est un grand moment de lecture.
Ces écrits sont une compilation de textes et d’articles publiés dans les journaux italiens entre 1973 et 1974. Ils évoquent des thèmes sociaux et sociétaux variés. Ils mettent en lumière une pensée originale, d’une clarté et d’une intelligence inouïes.
Une humanité maintenue sous terre au nom d’une guerre inexistante, astreinte à un travail d’esclave par une caste cynique et manipulatrice… Cela vous dit quelque chose?
L’histoire et les tragédies du Kosovo serbe résument et préfigurent sous bien des aspects le destin de l’ensemble de l’Europe et du monde chrétien.
Selon Chesterton, «le monde moderne est plein d’anciennes vertus chrétiennes devenues folles.» Cela amène Michel Michel à estimer que les chrétiens portent l’entière responsabilité du dévoiement, parce que l’Église «se trouve en difficulté devant le monde moderne».
Où l’on se rappelle que les grands artistes ont le don de transformer en miel et en or même la fange la plus noire de leurs vies.