Pain de méninges
La nature doit vous suffire
Le bon truc, je crois, c’est de ramener vos envies et vos goûts à suffisamment peu pour faire votre miel des choses négatives, ou de la simple lumière du jour et des cieux. (…) Une fois que vous avez fait le tour des affaires, de la politique, de la vie sociale, de... lire plusLa technologie et la peur
«Il est de fait que les progrès de l’automatisme et ceux de la peur sont très étroitement liés, en ce que l’homme, pour prix d’allégements techniques, limite sa capacité de décision. Il y gagne toute sorte de commodités. Mais, en contrepartie, la perte de sa liberté... lire plusLa dangereuse liberté de la création
Créer aujourd’hui, c’est créer dangereusement. Toute publication est un acte et cet acte expose aux passions d’un siècle qui ne pardonne rien. La question n’est donc pas de savoir si cela est dommageable à l’art. La question, pour tous ceux qui ne peuvent vivre sans... lire plusLe problème fondamental
J’ai traité plusieurs centaines de patients. Parmi ceux qui étaient dans la seconde moitié de leur vie — c’est-à-dire les plus de 35 ans — il n’y en a pas eu un dont le problème en dernier ressort ne fût pas de se trouver un regard religieux sur la vie. On peut dire... lire plusEspionnage et littérature
L’espionnage et la littérature marchent de pair. Tous deux exigent un œil prompt à repérer le potentiel transgressif des hommes et les multiples routes menant à la trahison. Ceux d’entre nous qui ont été intronisés dans le monde secret ne le quittent jamais vraiment.... lire plusQuand la forme étouffe le fond
La grande faiblesse de cette civilisation tient à ce qu’elle se soucie davantage de science que de vérité. Elle est plus fière de ses méthodes que de ses résultats; elle se satisfait de précision, discipline, bonne communication, plutôt que de penser à la réalité. — G. K. Chesterton