big brother
Traçage Covid-19: une coupable improvisation (1)
A quelle sauce (numérique) allons-nous être mangés? En Suisse comme en Europe, la bataille des données fait rage dans une hâte de mauvais augure pour la protection des données individuelles. Le traçage de l’épidémie justifie-t-il la violation massive de notre vie privée?
lire plusUne si désirable apocalypse
A quoi avons-nous affaire réellement? En quoi la maladie appelée Covid-19 se distingue-t-elle des épidémies antérieures? Au-delà des questions épidémiologiques, nous voyons se profiler d’autres explications à cette étrange dérive.
ÉCOLE NUMÉRIQUE • Une parodie d’enseignement
Plus de trace d’HUMAIN. Et tout le monde trouve ça normal!
lire plusITALIE • Mort d’un grand combattant pour la liberté
Dans son ultime intervention, qui vaut testament politique, Giulietto Chiesa a choisi de parler d’Assange.
COVID_19 • Panorama de la surveillance généralisée
On vous traque pour vous protéger du virus. Mais va-t-on débrancher les mouchards après?
BIG BROTHER • Quand l’antivirus joue à la taupe
Trahir la confiance des clients qu’on est censé protéger? Qui donc pourrait songer à pareille forfaiture?
Géants endormis… ou insomniaques de la censure? (2)
L’alliance du pouvoir exécutif français avec une milice privée de censure et de chantage sur internet, scellée par le projet de loi Avia, est-elle un produit des circonstances? Ou ne serait-elle pas la concrétisation d’un projet «suprapolitique» mûri de longue date qui ferait de la démocratie une relique du passé? Les écrits d’Emmanuel Macron lui-même nous éclairent là-dessus.
lire plusGéants endormis… ou insomniaques de la censure?
Les «Sleeping Giants» sont la nouvelle milice privée de contrôle de la pensée sur l’internet, qui assume pleinement son caractère répressif. Purs idéalistes? Les profils des meneurs indiquent plutôt qu’il s’agit d’un mercenariat techno qui barbote décidément dans un petit monde. Le marécage du Deep State est profond, mais pas si étendu que ça…
ASSANGE • Avant l’occultation, l’adulation
Le pauvre Julian Assange ne savait pas, à l’époque, qu’il n’était qu’une tête de gondole. Une fois qu’il eut bien fait grimper les ventes, on s’est aperçu que le produit pouvait être volatile, et donc dangereux.