guerre
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.
Zakhar Prilepine, l’écrivain et la guerre
Un roman qui sonne juste en dit beaucoup plus long et profondément vrai sur une société et son histoire que mille ouvrages savants ou les chroniques des meilleurs journalistes du temps. Zakhar Prilepine en est la preuve vivante.
La prochaine guerre n’aura pas lieu
Les tribus primitives croient qu’à force d’invoquer la pluie, elle finit par tomber. Mais qu’arrive-t-il lorsqu’on invoque sans cesse la guerre, qu’on dit ne pas vouloir, mais qu’on veut en fait très fort (mais sans le crier trop haut)?
Faux droit, vraies dévastations: les sanctions internationales
Où l’on voit que, comme dans le baiser fatal du *Parrain*, les sanctions internationales expriment beaucoup moins la rigueur d’un ordre juste que la brutalité d’États mus par des objectifs inavouables.
La France machine de guerre
Certains croient que les préoccupations des prochains gouvernements seront le chômage, la dette et l’insécurité. Qu’ils se détrompent. Aucune de leurs préoccupations ne sera commune avec celles du peuple français.
Général, poète et géopolitologue (Ivachov, 2e partie)
Agé aujourd’hui de 82 ans, le général Ivachov ne connaît pas de retraite après qu’il a été mis à pied sans explication il y a plus de vingt ans. Ecrivain prolifique, il ne cesse de publier des ouvrages qui mettent en lumière la place de la Russie dans le monde.
La guerre moderne et le culte du Néant
A Hiroshima, on a délibérément visé des civils. La technologie était nouvelle, mais non le procédé. En réalité, la guerre moderne a repéré le civil comme un maillon faible dans le dispositif adverse et par conséquent une cible légitime. De quoi nous parle cette évolution?
A qui profite la paix en Ukraine?
Ou plutôt: à qui profite la poursuite d’une guerre déjà perdue? C’est la question qui continue de résonner après les spectaculaires sommets et discussions de «paix» de ces derniers jours. Si elles ne laissent entrevoir aucune perspective d’apaisement concrète du conflit, ces agitations en disent long, en revanche, sur l’état moral et psychique de nos propres dirigeants.
Camus et la sauvagerie nucléaire
Pendant que les médias de grand chemin se livraient à des commentaires «enthousiastes» sur le massacre d’Hiroshima, Albert Camus prenait une fois de plus le contrepied des illusions suicidaires. Il nous aura fallu, peut-être, quatre-vingts ans de distance pour comprendre la gravité de ses mises en garde.