liberté
Pourquoi je pourrais un jour me faire vacciner
En guise de réponse à un lecteur exaspéré, et avant de passer à autre chose, je livre ici mon «credo» au sujet du bizutage universel auquel nous sommes cordialement invités.
Avant que ne parlent les armes… (2)
Pour ne pas être toujours en retard d’une guerre, voire de deux, il ne faut bien sûr pas abuser des comparaisons. Mais on a le droit aussi de rappeler qu’en règle générale, la révolte ou la résistance (qu’importe ici le vocabulaire) est d’abord un choix individuel.
Halte aux agissements illégaux du gouvernement suisse!
Mandaté par un groupe de citoyens préoccupés par la dérive autoritaire de leur gouvernement, l’avocat sédunois Jacques Schrœter a adressé deux lettres au Conseil fédéral suisse restées sans réponse. Après l’introduction du pass sanitaire le 8 septembre, il a adressé aux «sept sages» une mise en demeure les sommant de mettre fin à des agissements réprimés par le Code pénal suisse, notamment la contrainte (art. 181) et la propagation de maladies de l’homme (art. 231). Le groupe de citoyens appuyant son action a dépassé les 200 personnes et croît quotidiennement. La non-réponse étant devenue une tactique ordinaire chez les autorités, nous publions ici cette lettre d’une clarté et d’une franchise remarquables, en exhortant tous les Suisses à la méditer et à la diffuser.
Avant que ne parlent les armes…
Face aux mesures liberticides qui déferlent en cascade, la population paraît désespérément passive et résignée. Mais ne faudrait-il pas y regarder d’un peu plus près? L’histoire des résistances nous y invite…
DEUIL • Mikis Theodorakis, mémoire éternelle
Theodorakis était un géant échoué dans une époque de petits hommes. Chacun de ses chants était un hymne.
Allez-y, mais sans nous!
Il importe par les temps qui courent de nous constituer un musée intérieur peuplé de nos émotions vraies. L’une des meilleures manières est de nous souvenir de ces temps où l’on pouvait se permettre de ne participer à rien.
TRIBUNE • «Cette société n’est plus la mienne»
Une réaction à l’article d’Eric Werner, «De quoi sommes-nous encore citoyens?» (AP292)
Notre bon berger, le Grand Inquisiteur
De tout temps, et particulièrement à notre époque, les peuples ont été et restent confrontés à ce choix abrupt: ou la servitude en échange d’une promesse de protection de la part l’État, promesse assortie de celle d’une vie confortable — ou la liberté avec les risques qu’elle implique. Au fait, de quelle liberté parle-t-on?
Échos de la bataille ultime (Journal de Coronafoirus, 11)
Le journal de Coronafoirus, livre de bord de la dystopie covidéologique, approche de son premier anniversaire. En faisant le bilan de la plus étrange année de nos vies, j’ai essayé d’en comprendre le fil rouge. Tiendrait-il dans ce projet qui se mord la queue: des hommes qui essaieraient d’abolir l’humain en eux?