spiritualité
Se laisser aider
Nous ne sommes jamais seuls, mais c’est dans la solitude que nous nous en apercevons. Voilà encore un choix fondamental à faire dans une vie: cheminer tout seul, porter seul sa fierté et ses angoisses, ou se laisser pousser dans le dos, comme l’ailier propulsé vers le but adverse par les mille gorges de son public.
LISEZ-MOI ÇA! • Les Chroniques de Pereslavl de Laurence Guillon
«Je n’irai pas lécher les pompes des orques de Sauron…»
Les chemins noirs en nous
Les chemins noirs sont ceux qu’on ne voit pas, ils sont donc aussi ceux nous aidant à nous soustraire au regard des autres. Car il est parfois bon de le faire. Ainsi que le dit Épicure: «Cache ta vie!»
LISEZ-MOI ÇA! • «Le règne de la quantité et les signes des temps» de René Guénon
Ce livre permet de comprendre, parfois des décennies à l’avance, nombre de processus «dégénératifs» et déshumanisants de la société industrielle.
Philippe Roch: sortir de la spirale aveugle de la croissance
Ancien directeur du WWF Suisse, ancien secrétaire d’Etat et directeur de l’Office fédéral de l’environnement, Philippe Roch est une figure historique et universellement respectée de la lutte pour l’environnement en Suisse. Dans son dernier ouvrage, il avance avec tact et prudence la proposition tabou: s’engager délibérément sur la voie de la décroissance.
L’illusion de la liberté
«Le monde a proclamé la liberté, ces dernières années surtout; mais que représente cette liberté? Rien que l’esclavage et le suicide! Car le monde “Tu as des besoins, assouvis-les, tu possèdes les mêmes droits que les grands, et les riches. Ne crains donc pas de les assouvir, accrois-les même”; voilà ce qu’on enseigne maintenant. Telle est leur conception de la liberté. Et que résulte-t-il de ce droit à accroître les besoins? Chez les riches, la solitude et le suicide spirituel; chez les pauvres, l’envie et le meurtre, car on a conféré des droits, mais on n’a pas encore indiqué les moyens d’assouvir les besoins. On assure que le monde, en abrégeant les distances, en transmettant la pensée dans les airs, s’unira toujours davantage, que la fraternité régnera. Hélas! ne croyez pas à cette union des hommes. Concevant la liberté comme l’accroissement des besoins et leur prompte satisfaction, ils altèrent leur […]
Une journée dans la vie d’Atlas
Et donc j’ai érigé ici un lieu pour le silence, au nom de notre saint et bienheureux père Sabbas, offrant le toit à deux ou trois, selon les paroles du Seigneur : « Où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là parmi eux ». Aussi je porte cet ordre à la connaissance de tous : nul n’a autorité sur cette cellule, ni le prote, ni le prieur de notre saint monastère, et nul ne doit déranger celui qui vit en ce lieu. (1)
Méditations sans chaussures
Une réflexion relaxée sur des sujets qui ne le sont pas tant que ça.