Technologie
Une si désirable apocalypse
A quoi avons-nous affaire réellement? En quoi la maladie appelée Covid-19 se distingue-t-elle des épidémies antérieures? Au-delà des questions épidémiologiques, nous voyons se profiler d’autres explications à cette étrange dérive.
Traçage Covid-19: une coupable improvisation (1)
A quelle sauce (numérique) allons-nous être mangés? En Suisse comme en Europe, la bataille des données fait rage dans une hâte de mauvais augure pour la protection des données individuelles. Le traçage de l’épidémie justifie-t-il la violation massive de notre vie privée?
lire plusINTERVIEW • Slobodan Despot parle du putsch technologique
Alors qui aurait pris le pouvoir? «Il y a 60 ans que la communauté des ingénieurs, des informaticiens parlent de l’intelligence artificielle»,
lire plusÉCOLE NUMÉRIQUE • Une parodie d’enseignement
Plus de trace d’HUMAIN. Et tout le monde trouve ça normal!
lire plusLe coup d’État technologique (Journal de Coronafoirus, 6e semaine)
A la faveur du Covid-19, la religion technologique a fait main basse sur toutes les structures de la société. A-t-elle aussi réussi à déconnecter les cerveaux?
ÉCOLE NUMÉRIQUE • Comment les GAFAM vont tuer l’enseignement public
Les enseignants qui collaborent aujourd’hui à la mise en place de projets «MITIC» se doutent-ils qu’ils travaillent à leur propre éviction par des logiciels bas de gamme ?
lire plusESPACE • OVNI ou SpaceX?
Les extraterrestres pourront désormais se promener sans inquiétude. Plus personne ne distinguera leurs vaisseaux dans la pollution lumineuse générale…
lire plusÈve et son Adam, ou le symbole de l’ère postcorporelle
Dans «La fourmilière humaine globale», Alexandre Zinoviev décrivait le monde d’après la victoire de l’idéologie occidentiste et de la technologie qui s’y rattache. Dans le conte qui suit, nous faisons connaissance avec le «patient zéro» de cette civilisation hypertechnique et infrarégressive…
Plus qu’un virus, c’est un bug! (Journal de Coronafoirus, 4e semaine)
Avant même que l’épidémie de COVID ait impacté de manière perceptible la mortalité globale de ce printemps 2020, l’objet de nos angoisses se déplace déjà. Le virus est une chose, l’après-virus, on s’en rend compte, sera une tout autre paire de gants. Et non jetables, ceux-ci!