totalitarisme
De la violence en phase totalitaire (Chroniques du totalitarisme, 2)
Un pouvoir qui perd son autorité bascule dans la violence. Et à cette violence «d’en haut» répond, en mode miroir, la violence «d’en bas». Laquelle sera utilisée à son tour par le «haut» pour légitimer son oppression. Telle est la phase dans laquelle certains pays vont entrer, alors que d’autres y sont déjà. Quelle est la sortie possible de ce cercle vicieux?
La stratégie de la peur et ses limites: le peuple contre les élites
Le peuple n’en peut plus de subir, les élites gagnent de moins en moins de temps à mentir. Voici venu le temps des soulèvements, prédit Michel Maffesoli. Mais un soulèvement n’est pas encore une révolution…
TRIBUNE • Une année avec l’Antipresse
Faut-il être plus optimiste ou moins optimiste qu’à la même époque l’an dernier?
Le Bien se répand par injection
Si vous croyez encore que l’insistance des autorités à vous vacciner a un rapport avec le souci de votre santé, vous pouvez passer cet article. Si vous en doutez, même un peu, il vous sera utile de réfléchir aux conséquences d’une éventuelle *malveillance* généralisée…
MARQUE-PAGES • La semaine du 11 au 17 juillet 2021
Les incontournables de la semaine sélectionnés par Slobodan Despot
TRIBUNE • 12 juillet 2021: harcèlement et tyrannie
Les peuples doivent éduquer leur gouvernant et non le contraire. Les ministres sont étymologiquement, les «serviteurs» du peuple. Un gouvernement qui prétend éduquer son peuple bascule aisément en tyrannie.
Sans moi, ou la lecture comme contrecourant
Face au raz-de-marée du «mainstream», à la déferlante des «Me Too» et la terreur de l’unanimité, un petit nombre de rescapés reste toujours debout et refuse d’entrer dans la danse. Pourquoi? Qu’est-ce qui les motive à résister? Qu’est-ce qui les caractérise? Voilà l’un des mystère des «lois générales du comportement humain».
Le blocage de l’Antipresse par des singes numériques
On n’est jamais si bien servi que par soi-même. Tout au début de l’Antipresse, j’avais créé une rubrique «La Poire d’angoisse» pour chroniquer l’irrésistible dérive de notre société vers la censure absolue, et voici que nous en sommes à notre tour les victimes.