totalitarisme
La crèche de M. Ménard
A quelques jours de Noël, par une procédure urgente, le tribunal administratif de Montpellier a ordonné l’enlèvement de la crèche municipale de Béziers. L’État français a ainsi prévenu une dangereuse attaque terroriste avant même que ses auteurs l’aient envisagée.
Services publics
Que veut *rééllement* l’État au XXIe siècle? Pour qui roule-t-il? Et pourquoi rafle-t-il toujours plus d’impôts pour fournir toujours moins de prestations?
La régression de Pinocchio
La mode des inversions aurait-elle touché aussi les grands mythes formateurs de la jeunesse? Que se passerait-il si Pinocchio recommençait son aventure en sens inverse: de l’humain de chair et d’os vers le mannequin de bois?
Singulière singularité
La «singularité» demeure encore, pour le quidam, un vocable en rapport avec l’*unicité*. A moins qu’on ne soit physicien et qu’on l’utilise au sens technique du point de densité infinie, ou encore un matheux traitant des transitions de ses objets mathématiques. Mais il y a bien plus déconcertant.
Pourquoi il ne se passe rien (2/2)
A la suite du documentaire d’Adam Curtis, [*Hypernormalisation*](https://www.youtube.com/watch?v=-fny99f8amM) (voir Antipresse 101), sur le remplacement de notre réalité contemporaine par un monde de synthèse, j’ai réinterprété certains événements cruciaux de ma propre vie, et qui ont déterminé mon destin.
Pourquoi il ne se passe rien (1/2)
Nous nous sentons dépossédés comme citoyens, trompés comme électeurs, exploités comme consommateurs, empoisonnés comme patients. Notre environnement est tissé de faux-semblants. Malgré les catastrophes qui menacent et les révélations fracassantes sur la corruption du système, rien ne change, personne ne bouge. Pourquoi? Sommes-nous tous paranos, ou notre monde se serait-il mis à marcher selon d’autres règles?
lire plusLe pari multiculturaliste
Pour prévenir le chaos inévitablement liée à l’imposition contrainte et forcée du multiculturalisme, il n’y a pas d’autre moyen que le recours à l’Etat total.
Du harcèlement et de l’usage qu’on en fait
On peut ne pas aimer certaines choses, et en même temps ne pas trop aimer la manière dont, de plus en plus, s’y prend l’État non pas pour les empêcher — il n’empêche rien —, mais pour en profiter. En profiter pour créer de nouvelles pénalités et ainsi judiciariser un peu plus encore la vie sociale (comme si elle ne l’était pas déjà assez).
La règle et l’exception
Que s’est-il passé dans l’île de Saint-Martin, et qu’est-ce que cela nous enseigne sur les conditions de notre propre survie à venir?