Le distributionnisme contre les monopoles
Entretien avec un iconoclaste sur le problème central du monde actuel: la concentration de toutes les richesses entre quelques mains seulement.
Entretien avec un iconoclaste sur le problème central du monde actuel: la concentration de toutes les richesses entre quelques mains seulement.
La conscience de la chute et la nécessité du redressement, c’est selon Nicolas Bonnal le trait peu visible qui relie l’art de Lynch à la vision de Trump. C’est pourquoi il importe de s’imprégner des films du premier si l’on veut comprendre l’Amérique du second.
Le souffle mélodieux du projecteur retient mon attention. Les images défilent et laissent transparaître un personnage clé, récurrent. Les scènes s’affinent, l’enfant prend tout l’espace et s’impose avec insistance. Ces images m’invitent à considérer la place de l’enfant dans notre société. L’évolution sociologique de la famille est indissociable du rôle de l’enfant et de sa destinée. De l’enfant-divin à l’enfant-objet, que susurre notre humanité?
Après avoir passé en revue l’iconographie démoniaque au quotidien, les passerelles entre démonisme et scientisme, nous nous intéressons dans cette dernière partie à l’usage démoniaque et pervers de la langue. Car les idoles peuvent aussi s’incarner en… mots!
A quel genre littéraire appartiennent la religion du progrès, l’utopie scientiste, le rêve d’un contrôle total du devenir humain par la technologie? Fantastique ou science-fiction? Depuis le Frankenstein de Mary Shelley, le pouvoir magique de la science apparaît hanté de résonances occultes.
Charles Péguy écrivait «Il faut toujours dire ce que l’on voit; surtout, il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit». Oserons-nous voir ce que l’art officiel de notre époque déroule sous nos yeux?
Une lecture de «L’islam et l’ordre du monde» d’Yves Lepesqueur.
Pour quiconque a voyagé dans les pays de l’Est avant 1989, cette «carte postale» évoquera des souvenirs précis… à ceci près que les barbelés du mur, à l’époque, pointaient dans l’autre direction. Au fil de sa tournée de l’espace eurasien, Guy Mettan met en évidence certains des paradoxes les plus cocasses de notre temps.
Verrons-nous bientôt des armes autonomes et intelligentes désigner, repérer et exécuter elles-mêmes leurs cibles, sans intervention humaine? Au risque de se retourner contre leurs concepteurs? La surenchère — largement publicitaire — de spéculations sur les capacités de l’intelligence artificielle donne corps à ce genre de psychoses. Un connaisseur de la chose stratégique *et* technologique remet les fantasmes à leur juste place.