Antipresse 454 | 11.8.2024
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La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques du 26 juillet a été abondamment commentée, rendant mon article paru le dimanche suivant presque anachronique, comme s’il appartenait au siècle passé. Ce que j’en retiens ici est que l’attentat tant redouté a bien eu lieu, mais sous la forme d’un attentat à la pudeur, mené depuis l’intérieur et par le pouvoir lui-même.
En quoi la contestation des élections présidentielles au Venezuela nous concerne-t-elle? Eh bien… en tout. Il ne s’agit pas seulement de savoir à qui reviendra le plus gros baril de pétrole au monde. Il s’agit aussi et surtout de comprendre comment ce monde est gouverné.
Le coût de ces jeux est déraisonnable, aucune décision ne tient debout, tout devient parfaitement illogique à tel point que la seule explication rationnellement plausible est celle d’une expérience supplémentaire de contrôle social et d’un test de soumission mené à l’échelle de la population.