dictature
La Terreur sans complexe
Il fut un temps où l’imagerie et l’héritage de la Révolution française étaient sérieusement mis en question. Le Pouvoir en usait donc avec des pincettes. La cérémonie que nous venons de voir nous annonce sans équivoque que ce temps est révolu. On nous ressort la guillotine. Symboliquement. Pour l’instant.
Les Jeux olympiques de la régression psychique
La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques du 26 juillet a été abondamment commentée, rendant mon article paru le dimanche suivant presque anachronique, comme s’il appartenait au siècle passé. Ce que j’en retiens ici est que l’attentat tant redouté a bien eu lieu, mais sous la forme d’un attentat à la pudeur, mené depuis l’intérieur et par le pouvoir lui-même.
Services spéciaux, des liens indéfectibles
Il en va de «l’anarchie qui vient» comme du «terrorisme»: si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer. Même la placide Helvétie fait des efforts d’imagination dans ce sens.
Paris sous JO, ou la ville du roi Ubu
Le coût de ces jeux est déraisonnable, aucune décision ne tient debout, tout devient parfaitement illogique à tel point que la seule explication rationnellement plausible est celle d’une expérience supplémentaire de contrôle social et d’un test de soumission mené à l’échelle de la population.
Posons les choses autrement
Nous vivons dans un continuel jeu de dupes. Le pouvoir fait semblant de respecter les règles démocratiques et nous faisons semblant de le croire. Qui osera dire les choses telles qu’elles sont dans la réalité?
Les cercles de déni (2/2): caducité de la loi et paronomôn
De nos jours, l’«immunité parlementaire» permet aux députés d’échapper aux conséquences de leurs actions. Dans l’Athènes antique, c’était exactement le contraire: en proposant une loi irrecevable, on mettait sa propre tête en jeu… S’étonnera-t-on si nos régimes, privés de tout contre-pouvoir, sombrent dans le chaos?
Le chaos sans la guerre civile
Macron et Mélenchon ont beau déclarer la guerre civile à la France périphérique, ce n’est pas pour autant demain ou même après-demain que la France tout court basculera dans la guerre civile. Un autre scénario se profile plutôt.
Un ennemi pas comme les autres: un Français sur trois
Qu’est-ce que le pouvoir ne serait pas prêt à sacrifier pour «barrer la route à l’extrême droite»? Ses «valeurs»? Entendu, ce sont de toute façon des abstractions. Ses idées? D’accord, elles sont jetables. L’État de droit, ou ce qu’il en reste, aussi. Mais alors… de quel côté se trouve le vrai péril pour la démocratie?
La révolte des satrapes
Parmi les clients et les «alliés» de l’Empire atlantique, combien y en a-t-il qui obéissent, mais n’en pensent pas moins? Ces moutons noirs deviennent de plus en plus visibles. Voici un moyen de les identifier.