Philosophie
Au bout de la rhétorique écolo-gauchiste: l’abîme
La dégradation générale de l’environnement et la culpabilité exclusive de l’homme sont présentées comme des évidences incontestables. Selon Michel de Rougemont, elles conduisent non seulement au sabordage de la pensée rationnelle, mais à une régression mentale de la société elle-même.
De l’inaccomplissement (1)
Nous serons bientôt transformés en cheptel électroniquement tatoué, et cela ne nous dérange pas plus que tant. Le moment est peut-être venu aujourd’hui de formuler clairement cette intuition: «nous sommes les esclaves de notre inaccomplissement.» Pas de quoi, forcément, faire une philosophie, mais cela donne peut-être un angle d’attaque pour raconter l’époque.
«Le recours à la tradition» de Michel Michel
Selon Chesterton, «le monde moderne est plein d’anciennes vertus chrétiennes devenues folles.» Cela amène Michel Michel à estimer que les chrétiens portent l’entière responsabilité du dévoiement, parce que l’Église «se trouve en difficulté devant le monde moderne».
Antipresse 300: l’issue est vers le haut
Bref retour sur l’esprit et le sens de notre travail.
lire plusNotre bon berger, le Grand Inquisiteur
De tout temps, et particulièrement à notre époque, les peuples ont été et restent confrontés à ce choix abrupt: ou la servitude en échange d’une promesse de protection de la part l’État, promesse assortie de celle d’une vie confortable — ou la liberté avec les risques qu’elle implique. Au fait, de quelle liberté parle-t-on?
«L’obsolescence de l’homme» de Günther Anders
L’ouvrage-phare de Günther Anders est un avertissement précoce et prophétique sur les dérives de la société industrielle. Patrick Gilliéron Lopreno résume l’essentiel de son message et nous livre les réflexions qu’il lui inspire.
LISEZ-MOI ÇA! • «Le cœur aventureux» d’Ernst Jünger
Ce livre en appelle à une fraternité qui transcende les aspérités terrestres
Échos de la bataille ultime (Journal de Coronafoirus, 11)
Le journal de Coronafoirus, livre de bord de la dystopie covidéologique, approche de son premier anniversaire. En faisant le bilan de la plus étrange année de nos vies, j’ai essayé d’en comprendre le fil rouge. Tiendrait-il dans ce projet qui se mord la queue: des hommes qui essaieraient d’abolir l’humain en eux?
LISEZ-MOI ÇA! • «Sur la non-violence et la patriotisme» de Tolstoï
La paix régnera quand l’humanité aura appris, non pas gommer ses différences, mais à les accepter