Simón Bolívar, un détour par l’Histoire

Né le 24 juillet 1783 à Caracas au Venezuela et mort le 17 décembre 1830 à Santa Marta en Colombie, Simón Bolívar fut, aux côtés de son compatriote Antonio Jose de Sucre, le symbole de l’émancipation des colonies espagnoles en Amérique du Sud dès 1813.

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Quand la vérité devient multipolaire

Le bombardement de l’hôpital baptiste de Gaza constitue peut-être la plus grande tuerie ponctuelle de civils depuis les attentats du 11 septembre 2001. Ou peut-être pas. Nous ne savons pas exactement ce qui s’y est passé et aucune enquête indépendante ne viendra établir les faits. La vérité sur Gaza sera donc déterminée en fonction de vos options stratégiques.

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García-Márquez: sur les traces de Simón Bolívar

«On ne meurt pas quand on veut, mais seulement quand on peut». Cette phrase, issue de son chef-d’œuvre *Cent ans de solitude*, Gabriel García Márquez semble la prédestiner à son roman sur les derniers instants de la vie de Simón Bolívar, *Le Général dans son labyrinthe.

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Remonter un peu dans le temps

La dévalorisation du passé, observe Éric Werner, est un trait d’époque. Elle a pour «vertu» de couper les événements de leurs causes et donc d’en interdire la compréhension. Mais dans un univers gouverné par l’idéologie, il n’y a plus rien à comprendre…

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Cormac McCarthy, le dernier sondeur des abîmes

L’auteur de «La route» et de «Non, ce pays n’est pas pour le vieil homme» est mort en juin dernier. McCarthy n’était pas seulement le dernier géant de la littérature américaine, c’était aussi à sa manière un théologien immergé dans le mystère du Mal dans le monde. Pour l’Antipresse, notre ami Juan Asensio a rédigé cette salutation à l’un de ses auteurs phares.

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