Un génocide oublié
Dans une de ses récentes chroniques, le blogueur suisse installé à Moscou Peter Hänseler nous propose une analyse du plus grand génocide de l’histoire.
Dans une de ses récentes chroniques, le blogueur suisse installé à Moscou Peter Hänseler nous propose une analyse du plus grand génocide de l’histoire.
L’irruption des drones dans le théâtre de la guerre est aussi disruptive que celle de la poudre à la fin du Moyen Âge. Du jour au lendemain, les armures des chevaliers étaient devenues de la tôle dont on fait des cibles et les formidables murailles des châteaux forts ne vous garantissaient plus de rien. De même aujourd’hui, des systèmes d’armes coûteux et sophistiqués deviennent obsolètes face à une technologie encore peu éloignée de celle des jouets. On en a eu une illustration avec l’attaque des bases aériennes russes par des essaims de drones ukrainiens.
En ne prévoyant plus de bibliothèques dans ses ses nouveaux lycées, le gouvernement du Valais innove dans une direction inédite. Mais de quoi nous parle ce «bougisme»?
Si tu veux la paix, prépare la guerre. La philosophie du «parti militariste» s’arrêtait traditionnellement à ce précepte. Désormais, tous les partis de pouvoir en Europe réclament la guerre non pour la paix, mais… pour la guerre en soi! C’est une situation jamais vue dans notre histoire. Est-elle entièrement sans alternative?
Ou comment l’oligarchie a absorbé la «démocratie» américaine. Histoire d’une révolte fiscale et politique.
Les incontournables de la semaine sélectionnés par Slobodan Despot
Nous avons pris l’habitude de pointer du doigt les dirigeants et leurs idéologues, de jeter des fléchettes sur leur tronche épinglée au mur. Et où cela nous a-t-il menés? Nulle part. On ne comprend rien à ce monde en le réduisant aux individus et à leurs passions. Voici, exemples en main, une manière de voir au-delà de leurs travers et de leurs faiblesses.
La démocratie est une idole politique : un bagage sommaire en sciences politiques suffit pour s’apercevoir qu’elle n’existe pas, mais il est très mal vu de ne pas s’en réclamer. C’est, à peu près, le thème d’une série d’articles dont vous lisez le premier.