IONESCO, Eugène
«Le fanatisme défigure les gens […], les déshumanise.» (Ionesco, le 23 janvier 1960).
«Le fanatisme défigure les gens […], les déshumanise.» (Ionesco, le 23 janvier 1960).
Dans la suite de ses entretiens avec Alexandra Klucznik-Schaller, Mateusz Piskorski élargit les perspectives sur le gouvernement de surveillance totale instauré pendant le Covid, les conditions de la liberté, la nature de l’empire américain — mais aussi sur la manière dont toutes ces agressions du pouvoir font naître, en Pologne comme ailleurs, une contre-société. AKS: Dans la première partie de l’entretien, nous sommes revenus sur votre parcours et le coup d’arrêt qui a été porté à votre carrière politique en 2016, année durant laquelle l’OTAN installait ses bases militaires en Pologne. Vous avez été libéré le 16 mai 2019, six mois avant la pandémie. Pour éviter les contaminations, à l’Ouest on fermait les bistrots; en Pologne, le Premier ministre Morawiecki interdisait de se rendre au cimetière. Quelles observations pouvez-vous partager avec nous à ce sujet? MP: Ce qui est arrivé aux gens pendant cette période devra encore être étudié. J’aimerais me […]
La guerre, montée sur son cheval rouge, est le deuxième fléau de l’Apocalypse. C’est, dit-on, la pire des calamités qu’il faut éviter à tout prix. Vraiment? N’y a-t-il pas des cas où la guerre est envisagée comme une solution opportune, une issue désirable, voire une volupté?
La sortie du président français sur l’envoi de troupes en Ukraine tombe à point nommé pour enluminer notre récit sur le grand Carnaval… mais également pour nous ouvrir les yeux sur les coulisses de la fête et l’austère système de gouvernance cybernétique qui se nourrit de nos débats, de nos illusions et de nos peurs. Qui les cultive même.
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Les incontournables de la semaine sélectionnés par Slobodan Despot