La Guerre de Géorgie n’aura pas lieu
Les stratèges se doivent d’avoir toujours un plan B dans la gestion d’un conflit. En fonction de la situation, ce plan pourra évoluer, s’adapter et même se démultiplier.
Les stratèges se doivent d’avoir toujours un plan B dans la gestion d’un conflit. En fonction de la situation, ce plan pourra évoluer, s’adapter et même se démultiplier.
Dans une de ses récentes chroniques, le blogueur suisse installé à Moscou Peter Hänseler nous propose une analyse du plus grand génocide de l’histoire.
Jusqu’il y a peu, la Corée du Nord était considérée comme le trou du monde. En Russie, pourtant, on lui trouve de plus en plus de charmes.
La volonté affichée par Trump de mettre fin à la guerre en Ukraine est-elle le signe d’un retour à la raison et à la paix? Non, pensent les analystes les plus prudents, et la Russie risquerait bien de se faire rouler une fois de plus à ce jeu.
L’archiprêtre Andreï Tkatchev occupe un rang modeste dans la hiérarchie du Patriarcat de Moscou. Pourtant, son audience dépasse largement le cadre de sa paroisse de quartier. En termes de taux d’écoute, il s’inscrit en deuxième position dans le monde orthodoxe russe derrière le patriarche Kirill.
Il est courtisé par les journalistes les plus influents. Il ose invoquer la nécessité de «purges» dans un pays encore marqué par celles de Staline. Il est devenu le plus ardent défenseur hors USA de Donald Trump… Alexandre Douguine va-t-il prendre la grosse tête?
Vous souvenez-vous de Sergueï Skripal, cet agent double empoisonné en Grande-Bretagne, disait-on, par les services russes? Que sont-ils devenus, lui et sa fille, depuis qu’ils ont survécu à un des poisons les plus violents qui soient? Pourquoi ne les voit-on plus? Et autres questions gênantes auxquelles seul un grand baroudeur de l’enquête en eaux troubles pouvait s’attaquer.
D’un côté, le restaurateur de la puissance et de la fierté russes, le chef d’État qui suscite l’admiration des conservateurs de tous les pays. De l’autre, un «occidentiste» entouré d’ultralibéraux. Qui est véritablement Vladimir Poutine? Lequel de ces deux visages finira par s’imposer?
Comme nos lecteurs l’auront deviné, la vie de Vladimir Pozner est un roman que l’on ne résume pas en quelques pages. Des raccourcis sont nécessaires pour esquisser l’essence et la nature de caméléon du personnage, né un premier avril, qui n’a pas fini — à l’âge de 90 ans — de défrayer la chronique.