Antipresse

Olivier Griette: Antipresse, antimodèle, antitoxique, antibactérien

Aussi étrange que cela puisse paraître, la raison pour laquelle je lis l’Antipresse tient tout entière dans son titre. D’ailleurs, tel que je connais son fondateur, il a dû y songer longuement avant de le choisir… «Anti-» est un terme qui a plusieurs sens, et qui a donc le mérite de faire réfléchir le lecteur dès le premier mot. On pense bien sûr à son sens le plus évident d’opposition, de négation, de refus: l’Antipresse propose un contre-modèle, un anti-modèle de presse (ce qui en soi, avouons-le, constituerait déjà une raison suffisante!). Allons plus loin: «Anti-» est également le préfixe utilisé pour définir tout ce qui combat les maladies (antibactérien) ou plus largement tous les phénomènes pathologiques, y compris ceux de l’esprit, ce qui nous ramène à notre sujet. L’«Anti-» annihile aussi les effets d’un danger et protège contre une menace (antitoxique). En permettant de nous échapper, même temporairement, de ce […]

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Guillaume d’Aram de Valada: les résistants au broyage des cerveaux

Que faire pour rester en éveil dans un temps où le «tout, tout de suite» domine outrageusement? Après avoir découvert Slobodan Despot, et son écriture si empreinte de sincérité, en lisant notamment son premier roman — Le Miel — j’ai voulu continuer à suivre son cheminement. L’Antipresse m’a capté d’entrée de par son indépendance d’esprit, son acuité et sa probité intellectuelle. Le mensonge et la manipulation règnent tellement en maître dans le monde médiatique qu’il est précieux d’avoir une lettre dominicale écrite par d’authentiques résistants au broyage des cerveaux. Voilà pourquoi je lis l’Antipresse. C’est mieux que la sécurité sociale, c’est un vrai ballon d’oxygène mental. Merci cher Slobodan et longue vie à l’Antipresse! \\ + Guillaume d’Aram de Valada est entrepreneur

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Jean-Philippe Chenaux: un ballon d’oxygène

La prétendue «diversité» de la presse romande est un leurre. Alors que l’on comptait encore près d’une trentaine de quotidiens au début des années soixante, ils ne sont plus aujourd’hui qu’une dizaine, contrôlés presque en totalité par trois groupes de presse hors sol. Leur contenu, si l’on excepte l’information régionale, est désespérément uniforme. Dans cet environnement mortifère, un hebdomadaire en ligne comme Antipresse est un ballon d’oxygène aussi apprécié qu’indispensable. \\ + Jean-Philippe Chenaux est journaliste et auteur.

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Christian Chabbey: un regard empreint de sérénité

Les points de vue, les regards, les analyses et même les critiques, voir les interprétations que font tes complices des événements mis en exergue démontrent que dans l’interprétation quotidienne et permanente de mon petit univers personnel je n’ose pas échapper aux réflexions, aux analyses, aux empathies et aux interprétations qui donnent un regard un peu plus détaché du quotidien, ce qui a pour conséquence d’apercevoir et de supposer que la sérénité n’est pas qu’un fantasme de bobos mélancoliques. Et là, je ne parle pas du style… Christian Chabbey est patron du Rond Point, l’un des derniers vrais cafés populaires de Genève.

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Un lieu où l’époque s’écrit

Comment en sommes-nous arrivés à être ce que nous sommes aujourd’hui? Après 200 semaines sans pause, je me pose la question au travers d’une petite rétro-intro-spective.

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Médias et littérature: la même lente agonie!

Il y a de ça 200 éditions, nous étions trois à lancer contre vents et marées l’aventure de l’Antipresse. Nous avions donc en commun à la fois une véritable passion pour l’information et un quotidien marqué du sceau indélébile de la littérature. A quoi s’ajoutait un constat unitaire: l’agonie avérée des mondes médiatiques et culturels.

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L’Ogre

On m’avait que j’allais contribuer à nourrir la réflexion des extrêmes. Que je serais un faire-valoir, le plumitif dévoué garant du politiquement correct! Que je serais le vassal de l’Ogre!

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Rétablir un début d’équilibre

Je ne lis plus les médias de masse depuis presque une décennie. Mon temps de cerveau disponible est trop précieux. J’étais pourtant avide de propagande atlantiste pendant des années…

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Raisons de vivre, raisons d’écrire

Quel sens, pour moi, cela a-t-il d’écrire dans l’Antipresse? Il m’est souvent arrivé dans la vie de me dire: mais qu’est-ce que tu fais là? C’est une petite voix intérieure qui me le disait. Là, en revanche, pas de petite voix. Je me sens à la bonne place, au bon endroit.

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