#SYRIE | La fable des «rebelles modérés» finit en bain de sang
Oups! Les terroristes «fous et sanguinaires» étaient… nos protégés!
#USA | Duel Gabbard-Clinton, «le tweet de la décennie»
Qprès avoir saboté Bernie Sanders, Mme Clinton a-t-elle décidé une nouvelle fois d’assurer la victoire de Trump?
#RUSSIE | Les héros partent aussi en vacances
Après les pavés, la party… Ou l’autre vie des «opposants» russes
#VATICAN | Problèmes de casting
Ou les usages pas toujours charitables du Denier de Saint Pierre
#OTAN | Peut-on expulser la Turquie?
La réponse est: non.
#UKRAINE | La balle (dans le pied) de Zelensky
Faire un héros nationall d’un chanteur engagé dans les rangs des néonazis du « Secteur Droit » est un pari qui risque de s’avérer contreproductif.
#SANTÉ | Jeûne, manger cru et autres dérives sectaires
Comment? D’aucuns osent se détourner de la médecine chimique coûteuse et inefficace?
#RÉSEAUX SOCIAUX | Combattons les censeurs… en les censurant
Twitter censure tour à tour Cuba, la Chine, la Russie, l’Iran, le Venezuela et le mouvement indépendantiste catalan. Ne remarquez-vous pas là comme un schéma?
#USA #UE #RUSSIE | Le nouveau Débarquement US en Europe
Et les pauvres Européens qui croyaient bêtement que l’«initiative de défense européenne» servait à s’affranchir de la tutelle militaire américaine…
#NAZISME | La Lettonie ne renie rien… au contraire!
On imagine la réaction de nos médias de grand chemin si le premier ministre belge décernait un brevet de patriote exemplaire au SS-Sturmbannführer Léon Degrelle?
#SUISSE | La loi c’est la loi… de l’idiotie
Vous avez bien compris: en Suisse, il y a des règles et des horaires pour tout. Y compris pour la recherche archéologique parfaitement désintéressée.
Pourquoi lisez-vous l’Antipresse?
Pourquoi lisez-vous l’Antipresse? Le livre d’or de nos lecteurs
Michel Audétat: Antipresse, ou plutôt Antitweet?
Mon premier plaisir, c’est de ne pas retrouver dans l’Antipresse la hiérarchie de l’information qui s’impose partout et selon laquelle la mort de Johnny est un événement de nature à écraser tous les autres pendant au moins quinze jours.
Olivier Griette: Antipresse, antimodèle, antitoxique, antibactérien
Aussi étrange que cela puisse paraître, la raison pour laquelle je lis l’Antipresse tient tout entière dans son titre. D’ailleurs, tel que je connais son fondateur, il a dû y songer longuement avant de le choisir… «Anti-» est un terme qui a plusieurs sens, et qui a donc le mérite de faire réfléchir le lecteur dès le premier mot. On pense bien sûr à son sens le plus évident d’opposition, de négation, de refus: l’Antipresse propose un contre-modèle, un anti-modèle de presse (ce qui en soi, avouons-le, constituerait déjà une raison suffisante!). Allons plus loin: «Anti-» est également le préfixe utilisé pour définir tout ce qui combat les maladies (antibactérien) ou plus largement tous les phénomènes pathologiques, y compris ceux de l’esprit, ce qui nous ramène à notre sujet. L’«Anti-» annihile aussi les effets d’un danger et protège contre une menace (antitoxique). En permettant de nous échapper, même temporairement, de ce […]
Patrick Gilliéron Lopreno: une œuvre en soi
Chaque dimanche, tôt le matin, je reçois l’Antipresse et le lis dans son intégralité. Seul, au café. J’aime ce rituel. Pourquoi m’y suis-je attaché? Sûrement, en tout premier lieu, pour sa qualité littéraire et ensuite, aussi, pour son impertinence. Des fois, je suis d’accord avec le contenu des articles; des fois pas et c’est justement cela qui me plaît. Amoureux de la diversité de la presse depuis toujours, je retrouve dans l’Antipresse cette pluralité d’opinions qui a disparu des médias de groupes de presse. Plus le temps passe et plus je suis admiratif de la quantité et de la qualité d’un travail acharné qui aboutira certainement à devenir une œuvre en soi. Slobodan Despot est un «dinosaure» du monde de l’édition, un traducteur de talent et un des meilleurs auteurs contemporains. C’est aussi un turbulent passeur qui ose publier des écrits courageux et sublimes, de droite ou de gauche ou plutôt […]
Jean-Philippe Chenaux: un ballon d’oxygène
La prétendue «diversité» de la presse romande est un leurre. Alors que l’on comptait encore près d’une trentaine de quotidiens au début des années soixante, ils ne sont plus aujourd’hui qu’une dizaine, contrôlés presque en totalité par trois groupes de presse hors sol. Leur contenu, si l’on excepte l’information régionale, est désespérément uniforme. Dans cet environnement mortifère, un hebdomadaire en ligne comme Antipresse est un ballon d’oxygène aussi apprécié qu’indispensable. \\ + Jean-Philippe Chenaux est journaliste et auteur.
Guillaume d’Aram de Valada: les résistants au broyage des cerveaux
Que faire pour rester en éveil dans un temps où le «tout, tout de suite» domine outrageusement? Après avoir découvert Slobodan Despot, et son écriture si empreinte de sincérité, en lisant notamment son premier roman — Le Miel — j’ai voulu continuer à suivre son cheminement. L’Antipresse m’a capté d’entrée de par son indépendance d’esprit, son acuité et sa probité intellectuelle. Le mensonge et la manipulation règnent tellement en maître dans le monde médiatique qu’il est précieux d’avoir une lettre dominicale écrite par d’authentiques résistants au broyage des cerveaux. Voilà pourquoi je lis l’Antipresse. C’est mieux que la sécurité sociale, c’est un vrai ballon d’oxygène mental. Merci cher Slobodan et longue vie à l’Antipresse! \\ + Guillaume d’Aram de Valada est entrepreneur
Isabelle Chazot: l’Antipresse, une gourmandise cérébrale
Ça existe, la gourmandise cérébrale? Chaque dimanche à la première heure, l’Antipresse est un croissant chaud d’intelligence qui ravitaille le club de ses lecteurs.
Christian Chabbey: un regard empreint de sérénité
Les points de vue, les regards, les analyses et même les critiques, voir les interprétations que font tes complices des événements mis en exergue démontrent que dans l’interprétation quotidienne et permanente de mon petit univers personnel je n’ose pas échapper aux réflexions, aux analyses, aux empathies et aux interprétations qui donnent un regard un peu plus détaché du quotidien, ce qui a pour conséquence d’apercevoir et de supposer que la sérénité n’est pas qu’un fantasme de bobos mélancoliques. Et là, je ne parle pas du style… Christian Chabbey est patron du Rond Point, l’un des derniers vrais cafés populaires de Genève.
Pierre Bérard: l’Antipresse ne vieillira jamais
«Il y a toujours des livres qu’on tient ouverts devant soi» a dit Paul Ricœur. Pour moi, il en va de L’Antipresse comme de ces quelques livres indispensables à l’intelligibilité du monde. Je ne sais si les rédacteurs de cette lettre dominicale ont fait leur la formule de Nietzsche selon laquelle il n’y a pas de faits, il n’y a que des interprétations? Leur interprétation me va fort bien puisqu’ils reconnaissent d’abord leur dette vis-à-vis de toute la culture européenne. Ils sont de bons Européens. De quelle Europe parlez-vous, me rétorquera-t-on? Une Europe qui n’est pas seulement constituée de construction et d’abstraction avec ses procédures, ses normes et ses valeurs soi-disant universelles (quel ethnocentrisme!) mais qui est avant tout une substance incarnée dans un art et une littérature particulière. Comme le dit Kundera, une identité se fait chair, elle n’est pas un pur esprit flottant au-dessus des nuées et Slobodan, […]
Arnaud Bédat: c’est la vie, c’est le réel!
Chaque dimanche, l’Antipresse chemine à contre-courant. Sa lecture décalée fait du bien dans le maelström médiatique d’aujourd’hui trop souvent au service de la pensée unique. Le caractère, l’originalité, l’aspérité, c’est la vie, c’est le réel: toujours préférer l’irrévérence à la connivence. Le journalisme, c’est d’abord la vérité, même si elle dérange, au service de l’opinion et non des idéologies, des convictions et des écoles de pensée. Bon vent à l’Antipresse! + Arnaud Bédat est globe-trotter et reporter-enquêteur.
Markus Sanz: pensée indépendante, bravoure, intelligence du cœur
Merci à Slobodan et à toute l’équipe d’Antipresse pour leur cadeau hebdomadaire sans prix.
Michel de Rougemont: l’Antipresse est un organe rare, à protéger en le consommant
Il y a une réponse très courte à cette question: parce que ça m’instruit et me divertit! Pourtant elle ne correspondra pas aux attentes de M. Despot qui m’a si gentiment prié de lui faire part de mon sentiment envers ce drone qui a dû retourner à sa base pour y atterrir. Il y a presque deux ans j’avais formulé le vœu que ce pamphlet hebdomadaire soit à la hauteur, ni trop éloigné de ses sujets ni trop au ras des pâquerettes. Aussi avais-je souhaité qu’il ne s’écrase pas par manque d’attention ni qu’il se laisse dézinguer par des francs ou moins francs-tireurs. Cela s’est grosso modo réalisé. J’avais aussi souhaité que le manque de conformisme de l’Antipresse ne se transforme pas en un anticonformisme convenu, une sorte d’idiosyncrasie appartenant au petit cercle d’initiés. Là je me permettrai une petite critique, juste de quoi aiguillonner la bête. Souvent, l’Occident officiel, […]
Jacques Pilet: pourquoi je lis l’Antipresse?
Trouver un îlot où l’on voit la réalité autrement, c’est diablement bon. Y découvrir de surcroît des gens cultivés qui écrivent admirablement, c’est un cadeau.












